1. Hortense


    Datte: 28/08/2020, Catégories: fhhh, religion, grosseins, poilu(e)s, entreseins, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, historique, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... avait appris.
    
    — Maintenant on se calme. On s’arrête et on attend.
    
    Elle restait immobile, le sexe de René planté au plus profond de son être, ses poils pubiens mélangés à ceux de l’homme. La sensation en était agréable.
    
    — Écartez bien les fesses.
    
    Elle s’exécuta, incapable de prédire la suite des événements. René aussi l’aida à écarter les fesses. Elle sentit les mains de Lulu se poser sur ses hanches et quelque chose essayer de pénétrer son anus ; peut être un doigt, comme tout à l’heure.
    
    Non, c’était beaucoup plus gros. Elle réalisa soudain que cette chose était un sexe. Elle paniqua et s’agita, mais Lulu continuait de forcer. René la tenait fermement.
    
    — Tout doux, ma belle…
    
    En désespoir de cause elle se calma, écarta encore un peu plus ses fesses, cambra les reins.« Pense à Henri et ses gourgandines. » ne cessait-elle de se répéter pour se donner du courage.
    
    Sa rondelle céda d’un coup ; le gland venait d’entrer dans le rectum. Un petit gémissement s’échappa de sa bouche grande ouverte ; elle relâcha ses muscles, et Lulu en profita pour s’enfoncer jusqu’aux tréfonds de son être.
    
    — Et voilà, pas plus difficile que ça !
    
    Les deux hommes se remirent en mouvement. Ils travaillaient en rythme et semblaient avoir déjà fait ce genre de pratique. Elle recevait tantôt l’un, tantôt l’autre ; il y avait toujours un membre en elle, soit au fond de ses entrailles, soit de son fondement. Elle perdait aussi la notion du temps, croyant être là de puis des ...
    ... heures, et espérant que cela dure encore des heures.
    
    Lulu lui empauma les seins, pinçant légèrement les bouts, René lui prit le visage entre les mains et l’embrassa à pleine bouche, avec les langues qui se mélangeaient.
    
    Henri ne lui avait jamais fait ça non plus.
    
    Ils varièrent les ébats. Les deux sexes la pénétraient maintenant simultanément ; elle crut défaillir et poussa un cri de bête féroce, heureusement étouffé par la bouche de René.
    
    Ils la remplirent de leur semence une nouvelle fois.
    
    Elle gisait inanimée sur le sol. Ils fouillèrent dans son sac, trouvèrent des sels qu’ils lui passèrent sous le nez. Elle se réveilla, toute hébétée. Ils épongèrent le liquide coulant de ses orifices et firent office de femmes de chambre en lui passant ses vêtements. Ils s’en sortirent convenablement.
    
    Il n’y avait plus âme qui vive dans la salle lorsqu’ils sortirent tous trois. Lulu crocheta la serrure ; ils l’aidèrent à trouver un fiacre et elle rentra chez elle, encore tout estourbie de cette folle après-midi.
    
    — Au revoir, Madame Hortense, merci pour tout.
    
    Ils lui firent un baisemain en la quittant.
    
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    — Mon Père, pardonnez-moi car j’ai beaucoup péché.
    — Je vous écoute, ma fille.
    
    Hortense Gauthier venait se confesser, souvent pour des broutilles ; il en avait pour cinq minutes et lui imposerait deuxAve et unPater, plus une petite obole pour la paroisse.
    
    — Voilà, mon Père ; ce que je vais vous raconter est difficile à dire. La ...
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