Cocufiage programmé - 2
Datte: 27/08/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
jalousie,
dispute,
confession,
couple+h,
Auteur: Brmbrm, Source: Revebebe
... chaste baiser sur la bouche et nous avons cheminé en amoureux, ravivant notre excitation de quelques baisers légers. Sauf une fois où il m’a empoigné avec autorité le menton pour m’embrasser fougueusement et me pétrir un sein ; je lui ai rendu la politesse en caressant une fesse, n’osant contourner la hanche pour la bite convoitée ; il était doux et prévenant mais passionné et vif. Irrésistible ! J’avais envie de le serrer contre moi, mais je pensais aussi à toi, malheureux, coléreux. La soirée s’est passée sans caresses ni gestes déplacés. Il m’a raconté sa vie, ses amours malheureuses. Tu as encore appelé pour me dire des insanités : « bonne bourre, salope ! »
Nous sommes restés silencieux, désemparés, redoutant que tu fasses une connerie ; il m’a proposé d’aller dormir, m’a dit qu’il comprenait que je puisse désirer être seule. Je n’ai pas voulu lui faire payer le prix de ta bêtise. Alors, nous sommes montés dans sa chambre. Il s’est déshabillé, me tournant le dos, m’offrant le spectacle de ses fesses magnifiques – bien plus belles que les tiennes, mon chéri – des fesses gourmandes, attirant les caresses, donnant envie de les pétrir, de les sentir se contracter pour assurer la force de la pénétration, de la fougue à sa bite conquérante. Il s’est mis dans les draps et m’a regardée me déshabiller sans aucun complexe… je commençais à m’habituer à son regard gourmand. Au début, j’ai tourné le dos. « J’aime tes fesses, Marie, j’ai envie de les malaxer, de les embrasser, de ...
... les serrer contre moi. J’aime ton corps, tes seins lourds et pointus. J’ai envie de toi, ma chérie. » Je me suis tournée vers lui, sans complexe, lui offrant le spectacle de mes gros seins aux pointes offertes, j’étais figée, pensant à ta remarque insultante, je le voyais me regarder avec avidité. Je suis venue contre lui : « Je ne peux pas… » Il n’a pas objecté, m’a caressée doucement, m’embrassant la bouche et la langue avec fougue, je sentais sa bite raide contre mon ventre, j’en avais envie mais ne pouvais lui accorder cette faveur. Nous nous sommes blottis, puis il s’est écarté, pas habitué à une présence dans son lit de solitude. Nous avons dormi, caressé, redormi, peloté… mais il a compris que je ne pouvais lui ouvrir les cuisses. Au petit matin, nous nous sommes levés, après tes appels téléphoniques, nus sous nos robes de chambres, tels que tu nous as trouvés au petit déjeuner… À cinq minutes près, tu nous aurais surpris nus et enlacés dans son lit.
Il ne m’a pas pénétrée… et je le regrette.
— Tu voudrais qu’il te pénètre ?
— Oui. J’ai tellement apprécié de me faire caresser par un autre homme.
— Alors, tu vas le faire ?
— Oui !
— Avec lui, ou avec d’autres
— Je ne sais pas, mais ce qui est sûr, c’est que je veux connaître ça.
— Alors, tu vas encore me cocufier ?
— Tu sais, tu n’as pas été vraiment cocu ; il ne m’a pas pénétrée.
— Ah ! Le fait qu’il te caresse, nue, qu’il te pelote… c’est pas du cocufiage ?
— Si, un peu…
— Tu as envie de le revoir ?
— ...