Cocufiage programmé - 2
Datte: 27/08/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
jalousie,
dispute,
confession,
couple+h,
Auteur: Brmbrm, Source: Revebebe
... son dard… ça me gênait un peu mais en même temps, ça me donnait des frissons. Savoir qu’un homme nu puisse me trouver à son goût. J’ai fait mes 50 longueurs, comme à la maison.
— Et t’a-t-il tripotée comme à la maison ?
— Pas du tout. Il a été très respectueux. Il est sorti de l’eau le premier et m’a invitée à une séance de bronzage. Alors, je l’ai regardé, sortant de l’eau, ses fesses magnifiques et musclées ruisselantes. Il a pris une serviette et s’est tourné vers moi, bite raide, superbe, prête à s’offrir. Il a vu que ça me troublait.
— Tu avais envie de lui ?
— Pas vraiment. J’étais excitée qu’il s’intéresse à moi, flattée d’être désirée par un bel homme. Je ne suis pas habituée à regarder des hommes nus, mais là, je ne pouvais détourner mon regard de ses fesses ou son sexe. Je n’osais rien dire. « Viens t’allonger », m’a-t-il dit. Nous nous sommes couchés sur nos serviettes, à plat ventre à quelques centimètres l’un de l’autre. Il me regardait en souriant : « On est bien, non ? » Il me fixait. J’étais paralysée, sentant qu’il allait se passer quelque chose. Il s’est assis et a commencé à me masser le dos, doucement mais fermement. Des épaules aux reins, ses mains douces et fermes prenaient possession de mon corps, progressivement descendant de plus en plus jusqu’aux bas des fesses. Là, j’ai commencé à sentir la chaleur m’envahir, envie de plus, honteuse de tomber dans le péché mais saisie d’un désir irrésistible. Il était doux, effleurant ma peau dorée, s’attardant ...
... de plus en plus sur mes fesses blanches. Il devinait mon trouble et n’a plus porté intérêt qu’à mes deux globes charnus, les pétrissant, devinant que je mouillais. Je me suis tournée vers lui, lui ai souri, il s’est allongé contre moi, m’a donné un petit baiser, puis a picoré mes lèvres jusqu’à les ouvrir, nos bouches se sont trouvées, nos langues se sont mêlées ; il m’a prise dans ses bras, nos corps serrés, je sentais son désir sur mon ventre, il m’a caressé les seins… il a dû sentir que je n’étais pas encore prête. Je lui ai rendu ses caresses. Nous nous sommes caressés et explorés longuement.
C’est alors que tu as appelé pour la première fois. Il s’est levé pour aller au téléphone, son téléphone est dans la maison, avec un fil à la patte. Discrètement, le l’ai regardé s’éloigner, décidée à tout lui donner, tant son corps sculptural était au diapason avec sa douceur et sa force devinée.
Il est revenu : « c’est ton mari ». Il bandait face à moi. Je l’ai regardé, convaincue que nous allions bientôt nous pénétrer, je me suis levée, toujours nue pour te répondre. Il me regardait du coin de l’œil. C’est là que tu m’as questionnée : « es-tu seins nus ? »… je te maudissais, le charme était rompu ; quand j’ai raccroché, mes seins étaient éteints. Je suis allée me rhabiller. Il a compris, et s’est vêtu lui aussi, m’a proposé un thé puis une promenade. Nous avons parcouru la campagne en parlant joyeusement. À un moment, il m’a pris la main que je lui ai laissée, m’a donné un ...