Cocufiage programmé - 2
Datte: 27/08/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
jalousie,
dispute,
confession,
couple+h,
Auteur: Brmbrm, Source: Revebebe
Le week-end avorté s’était conclu par un fiasco : (voir n° 13765)
Le retour en voiture fut douloureux, abasourdis par la tournure qu’avaient pris les événements :
Ma femme, épuisée, (par quoi ?) somnolant, sans doute rêvant d’une belle bite amie, d’une jouissance inconnue à ce jour, de ces fesses musclées qu’elle n’avait pas imaginées…
Moi, partagé entre soulagement d’avoir interrompu le baisage industriel et la culpabilité d’avoir empêché ma femme aimée de jouir de nouveaux orgasmes.
Sans compter la douleur d’ignorer le détail des attouchements, les tergiversations d’amants débutants, hésitant entre leurs pulsions animales et le déchirement moral de cocufier, elle un mari, lui un ami…
Conduisant comme un automate, je me faisais un film, imaginant les amants jouissant sans retenue, se jetant à la tête des mots horribles : mon amour, ma chérie, mon cœur, ma chatte, ma bite… Et je bandais comme un cocu minable qui n’a plus que le fantasme pour s’exciter, face à un silence de plomb.
Petit à petit, les kilomètres monotones aidant, j’ai réussi à extirper des bribes d’informations. Elle avait du mal à parler, ne répondant au début que par oui ou par non. Et puis, elle avait tellement envie de prolonger ce week-end, de revivre ces émotions nouvelles et suffocantes, qu’elle s’est laissée aller :
— Vous avez fait quoi ?
— On a déjeuné, puis j’ai demandé de faire une petite sieste…
— Crapuleuse.
— Mais non, que tu es bête !
— Ensuite ?
— Après la sieste, Alain ...
... m’a proposé un bain, la piscine était à 29 °.
— Quel maillot de bain as-tu mis, parmi les trois que tu avais emportés ?
— Euh… Nous sommes entrés sous l’abri de piscine, il faisait une chaleur étouffante. Je lui ai dit que j’allais chercher mon maillot de bain. Il a répondu qu’ici, on se baignait nu, que personne ne nous verrait. Alain m’a tourné le dos, il a ôté son t-shirt, découvrant une musculature inattendue, superbe, je n’osais le regarder… mais quand même… il a baissé son pantalon, même musculature des cuisses, puis le slip, fesses magnifiques, musclées, un bel homme. Il est entré dans l’eau, lentement, me laissant admirer son corps d’athlète ; à ce moment, je n’avais pas encore vu son sexe. Alors, j’ai fait comme lui.
— Tu t’es déshabillée et baignée toute nue ?
— Oui. J’ai d’abord quitté mon corsage, puis rapidement le soutien-gorge, vite également mon pantacourt et ma culotte, d’un seul coup, pour tenter d’aller vite avant qu’il se retourne, ayant commencé à nager. Quand je suis entrée dans l’eau, il me faisait face, j’ai senti son regard sur ma poitrine, ça m’a troublée, les pointes de mes seins ont durci… je n’osais pas le regarder, mais je devinais que lui se régalait de mon corps nu, face à lui : il voyait mes seins tendus, ma chatte touffue et regardait sans complexe.
— Et puis ?
— Il nageotait, me regardait… m’adressait quelques petits compliments gentils, tentant de dédramatiser la situation ; j’imaginais qu’il devait être excité, n’ayant pas encore vu ...