1. 30 ans après un amour de jeunesse


    Datte: 26/08/2020, Catégories: fh, couple, extracon, amour, Oral pénétratio, amourdura, Auteur: Rv382A, Source: Revebebe

    ... me faire plaisir ?
    — Oh que non. J’aime tout dans tes seins. Leur forme, leur taille juste comme j’aime et les tétons sont magnifiques, comme s’ils étaient faits pour moi.
    — Promis ?
    — Promis !
    — Alors, prouve-le-moi. Je ne te crois pas.
    
    Son petit sourire en coin était très coquin. Elle avait les yeux qui brillent et respirait lourdement. Il posa un petit baiser sur sa bouche. « Tu vas voir », répondit-il en glissant entre ses jambes. Il se mit à genoux par terre et sans la toucher, la caressa de son souffle du cou jusqu’entre les seins puis porta sa bouche en face du téton gauche. Celui-ci semblait encore plus dressé. Il se tendait désespérément comme pour chercher à se faire attraper. La bouche grande ouverte, il s’approcha si près qu’une partie du sein se trouvait presque gobé. Pourtant, il ne la touchait pas encore, mais elle sentait la chaleur humide lui irradier la poitrine. Là, elle se cambra à l’extrême en soufflant tout l’air que ses poumons contenaient. On aurait dit un début d’orgasme. Satisfait de son effet, il se recula un peu et en la regardant droit dans les yeux, il effleura à peine le téton dur et brûlant avec la pointe de sa langue.
    
    — Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-il amusé,
    — T’es qu’un pervers. C’est pas humain ce que tu me fais.
    
    Sa langue touchait à peine le bout du sein…
    
    — Quoi ? Je ne fais rien. Enfin, presque rien.
    
    C’est lui qui avait maintenant un sourire coquin sur la bouche. Elle, elle n’était que fièvre et brûlante de ...
    ... désir.
    
    — Justement, c’est pas humain de me torturer comme ça. T’as pas le droit !
    
    Tout d’un coup, il empoigna doucement les deux seins de sa belle. Sa main gauche engloba le sein droit et il pinça légèrement le téton entre le pouce et l’index. La main droite pressait le sein gauche pour en faire ressortir le bout. Sa bouche se précipita dessus, le pinça en les lèvres et l’aspira puis le relâcha dans un bruit de succion indécent. Surprise par la soudaineté du ce plaisir qu’il lui procura, elle poussa un cri grave.
    
    — Et ça, j’ai le droit ? demanda-t-il en cherchant son regard.
    
    Ses beaux yeux de biche étaient fermés, sa tête en arrière, arc-boutée, sur le dossier du canapé. La bouche grande ouverte elle ne put apporter d’autre réponse qu’en lui passant les mains derrière le cou et lui planquant de nouveau la bouche sur le sein. Fier de son effet, il reprit de plus belle. Tandis qu’un téton était roulé entre ses doigts, sa langue jouait avec l’autre, en faisait le tour, tentait de l’enfoncer dans le sein. Ses dents mordillaient le bout sensible et ses lèvres l’aspiraient d’autant plus fort qu’elle se cambrait.
    
    — Salaud ! Tu n’as pas le droit, c’est trop bon, continue, encore, encore… c’est insoutenable tellement c’est booooooooooon.
    
    Dans une ultime secousse, elle se cambra si fort qu’il en fut désarçonné. Les doigts de sa maîtresse étaient plantés dans son cou le maintenant contre ce sein si doux. Reprenant doucement ses esprits, elle relâcha la pression et les yeux ...
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