30 ans après un amour de jeunesse - Histoires de Sexe

30 ans après un amour de jeunesse

... humides de reconnaissance, elle attira la tête de son amant pour lui prendre la bouche.

— Je ne sais pas comment tu fais, mais je n’ai jamais senti ça…
— Tu as joui rien qu’avec les seins ?
— Je crois bien que oui. C’est bizarre. Ça ne m’a jamais fait ça. C’était si différent…
— J’en suis flatté. Et je ne compte pas m’arrêter là, dit-il en glissant ses mains sur l’intérieur de ses cuisses.
— J’espère bien, mais pour l’instant c’est à moi de te faire des misères.

En se levant, elle fit passer sa robe noire par-dessus sa tête pour se retrouver presque nue, ne portant plus qu’un joli string blanc en dentelles qui lui remontait légèrement sur les hanches. Elle était d’une beauté sensuelle qui lui fit tourner la tête. Face à lui, elle l’embrassa de nouveau. Comme il portait ses mains sur ses hanches nues, elle les lui retira et allongea ses bras le long du corps. Elle prenait clairement le contrôle. Quoique… l’empressement qu’elle montrait à lui déboutonner la chemise prouvait qu’elle n’arrivait plus guère à se retenir. Elle défit la boucle de sa ceinture, dégrafa les premiers boutons de son jean et sans prendre le temps de le baisser, plongea sa main dans son boxer. Elle trouva immédiatement ce qu’elle cherchait : un sexe bandé comme un arc dont le bout était déjà humide. Elle le masturba un peu puis baissa complètement le pantalon et repoussa son homme sur le canapé, les chevilles encore entravées. Se jetant sur lui elle se mit à l’embrasser partout sur le torse ...

... puis à suçoter ses tétons à lui. Comment savait-elle ?

— J’adore ça, soupira-t-il.

Les seins libres caressaient le bas de son ventre et touchaient parfois le bout de son sexe. Les doigts crispés dans les longs cheveux noirs il articulait à peine :

— C’est divin. Par contre, toi tu n’arriveras pas à me faire jouir juste sur les tétons.
— Et comme ça, j’ai plus de chance d’y arriver ?

Elle se précipita sur le bout turgescent en le prenant d’un coup entre sa langue et son palais.

— Ouch ! Il se plia subitement en avant, lui plantant les doigts dans le dos. C’était si bon et si espéré que cette subite caresse, chaude et humide, était sur le coup presque douloureuse. En s’excusant presque de sa réaction, il expliqua :
— Non seulement tu risques d’y arriver, mais si tu ne t’arrêtes pas tout de suite, ça va venir très, très vite…

Il était en effet tellement excité par les caresses que sa jouissance était proche. Trop, pensa-t-il. Il avait envie d’honorer sa Belle à la hauteur de l’amour qui lui portait, c’est à dire de façon immense. Pourtant, le désir entretenu depuis des mois au travers de leurs messages et photos envoyés par email le mettait dans un état proche de celui d’un adolescent puceau qui se retrouve sans prévenir dans un lit avec l’actrice porno sur laquelle il fantasme toutes les nuits. C’est à dire éjaculateur précoce. Pour parer à cette honte annoncée, il prit la tête de sa maîtresse et tenta de la dégager de son mandrin au bord de l’explosion. Sauf ...