1. 30 ans après un amour de jeunesse


    Datte: 26/08/2020, Catégories: fh, couple, extracon, amour, Oral pénétratio, amourdura, Auteur: Rv382A, Source: Revebebe

    ... Il attirait sans cesse sa tête contre la sienne pour que leurs bouches restent soudées l’une à l’autre. Leurs langues se battaient, jouaient l’une autour de l’autre. Leurs dents s’entrechoquaient et leurs lèvres ne se séparaient que pour reprendre leurs souffles, se regarder droit dans les yeux sans rien dire, et recommencer de plus belle. La fougue de ce baiser était celle que deux adolescents mettraient en œuvre pour leur première pelle. La maladresse en moins, la sensualité en plus. Ils se mordaient tendrement les lèvres l’un de l’autre. Leurs bouches étaient mouillées de cette salive échangée et glissaient jusque sur les joues. Ce baiser était torride, d’un érotisme troublant, celui de deux êtres s’aimant encore timidement et n’osant pas aller plus loin pour le moment.
    
    Petit à petit, elle glissa sur sa joue pour revenir bien vite au tendre contact de ses lèvres. Il en fit de même et s’aventura à lui sucer le lobe de l’oreille et le prendre doucement entre ses dents. Il revint vite sur sa bouche, mais la découverte était lancée. Sans y prendre garde, leurs baisers s’étendaient dans le cou de l’autre, sur les yeux, le front, les oreilles, puis encore le cou pour revenir à chaque fois étouffer la bouche de l’autre. Aucun n’était en reste et ils se transmettaient tout le désir dont ils étaient gorgés pour que l’autre craque et aille plus loin. Les mains se faisaient de plus en plus joueuses et passaient de la tête au cou, au dos de l’autre, pour l’instant assez sagement. ...
    ... Sauf que le désir pur était trop fort et sans vraiment s’en rendre compte, les deux amants se tordaient le bassin, plein de fourmillements, à la rencontre d’un contact de plus.
    
    Toujours assis sur sa maîtresse, il poussa ses baisers un peu plus avant sur ses épaules. De ses deux mains en même temps, il fit glisser les bretelles de sa robe juste assez pour découvrir ses épaules et les couvrir de baisers. Puis sa gorge, puis le haut de sa poitrine. Du coup, elle n’était plus aussi libre de ses mouvements, mais s’en accommodait fort bien et pressait la tête de son amant contre elle pour bien lui faire comprendre qu’il avait le droit (mais surtout le devoir) de continuer dans cette direction. Il n’était pas en état de résister et tira plus bas la robe, dévoilant la naissance des seins. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Cet « oubli » le rassura, car il avait peur que son désir à lui ne soit pas complètement réciproque. Alors il prit cela comme une marque de désir, une volonté d’afficher sa sensualité de femme. De toute façon, elle n’en avait guère besoin, car sa poitrine était très belle. Elle arborait un volume appréciable et une tenue qui aurait pu rendre jalouse plus d’une femme. Le tissu de sa robe s’accrocha sur les tétons. En tirant un peu vers le bas, les pointes dressées lâchèrent l’étoffe pour se dresser fièrement vers lui, arrogantes et tendues par le désir.
    
    — Ils sont encore plus beaux qu’en photo, souffla-t-il.
    — C’est vrai, tu aimes ? Tu ne dis pas ça pour ...
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