1. Contrainte 07 - Le Bizutage


    Datte: 21/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... Moi, je vois surtout ses grosses mamelles... et son gros cul... »
    
    Gabriel et Dimitri sont arrivés après je ne sais combien de temps. Le brouhaha avait repris son niveau habituel. De temps en temps, une personne passait à côté de moi pour me dire : « Courage, on est avec toi ».
    
    Ils ont pris place sans même un mot pour moi et ont mangé tranquillement tout en discutant de leurs études. Dimitri a pris mon assiette, l'a déposée sur une chaise.
    
    - Mange, a-t-il ordonné.
    
    - Avec les mains sur la tête, a renchéri Gabriel.
    
    Je n'ai pas osé contester, sauf du regard. Résignée, je me suis mise à genoux et j'ai commencé à manger mon riz, comme un animal. Ma courte robe ne cachait plus rien de mes charmes à ceux qui passaient derrière moi. A mi-assiette, j'ai arrêté et je me suis redressée, sans me mettre debout. Gabriel à pris la direction de la suite du bizutage :
    
    - Tu as fini bizute?... Tu peux te relever. Essuie ta bouche. Qu'est ce que tu manges salement! Baisse les bras. Viens à mes côtés.
    
    Lorsque je fus en position, sa main a glissé sur mes fesses, sous la robe. Ce jour-là, je n'ai pas fui son contact. Il a poursuivi :
    
    - Je te présente Dimitri. Je lui ai donné tous pouvoirs de bizuteur sur toi. Comme cela, tu seras doublement protégée. Donc, tu lui obéis comme à moi-même.
    
    Je venais de recevoir un nouveau coup de marteau sur la tête. La main baladeuse remontait la robe lentement mais sûrement. Il caressait mon entrejambe, sans que j'en ressente quelque ...
    ... plaisir. Centimètres par centimètres, il tirait la culotte vers le bas.
    
    Heureusement, ils se levèrent assez vite, ma culotte bloquée à mi-fesses :
    
    - On se retrouve ce soir après tes cours, sous les arcades à côté de la sortie, sauf si on se croise avant dans les couloirs. Va ranger nos plateaux.
    
    Hébétée, je me suis rajustée et j'ai reporté leurs plateaux. A mon retour, ils avaient disparu, mon imper aussi.
    
    Ce jour là, j'avais un TD de 14 à 16. J'ai dû emprunter les couloirs sans la protection de l'imperméable. Tous me regardaient avec une insistance, tantôt moqueuse, tantôt compatissante, tantôt emplie de désirs. Un garçon me suivit longuement.
    
    Quand je suis entrée dans la salle de cours, le professeur a ouvert grand les yeux et a déclaré :
    
    - Je vois que monsieur Gabriel ne s'est pas calmé! Entrez, mademoiselle, nous le connaissons.
    
    Ce soutien m'a réconfortée mais j'étais furieuse que nul ne fît cesser cette pratique ignominieuse, d'un autre temps.
    
    A l'intercours de 16h, je suis allée prendre un café avec deux copines et un copain David. Nous avions trouvé un autre distributeur que celui de la cafétéria devenu trop dangereux pour moi. Le seul inconvénient était qu'il me fallait encore prendre les couloirs et même passer dans la cour. Mais j'avais besoin de respirer, de prendre l'oxygène comme une bouffée de liberté. J'ai retrouvé le sourire avec mon café et une barre chocolatée qui a comblé la faim. Il faut dire que j'avais peu mangé! Mes amis ne m'ont pas ...
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