1. Contrainte 07 - Le Bizutage


    Datte: 21/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... imper et pris place assise. Ils me fixaient tous trois sans dire un mot. Je crois que ma poitrine, visiblement nue sous mon pull, les laissait sans voix jusqu'à ce que Gabriel déclare :
    
    - N'as-tu rien oublié? Ta présentation!
    
    - Eh... ici? ... je... il y a du monde...
    
    Devant son regard dur, j'ai cédé. Le cœur battant la chamade, les larmes prêtes à tomber, je me suis levée, je me suis mise au garde-à-vous et j'ai posé les mains sur la tête en plein milieu du restaurant universitaire.
    
    J'ai entendu des sifflets. J'ai gardé les yeux dans le vague pour ne voir quiconque. Ils se sont mis à manger sans sembler s'occuper de moi, me laissant ainsi bêtement debout. Puis Gabriel m'a fait signe d'approcher de sa chaise et a passé sa main sous ma jupe. Je n'ai pas pu résister et je me suis dégagée pour échapper à sa main vicieuse. Il a pâli mais n'a rien dit. Ils ont continué à manger en me laissant dans ma position ridicule. Après un moment qui m'a paru bien long, Gabriel m'a ordonné d'aller lui chercher une autre canette de coca en précisant que je ne devais jamais ôter mes mains de la tête.
    
    J'ai donc dû traverser le restaurant sous bien des sifflets car ma poitrine nue ressortait outrageusement sous mon pull tendu par mes bras. Je suis retournée faire la queue qui commençait hors de la salle. Très vite, d'autres étudiants vinrent dans la file après moi. Un mec me demanda :
    
    - Pourquoi tu gardes les mains sur la tête? Tu sais que t'as l'air d'une cloche?
    
    - ...
    ... C'est-à-dire... je suis bizute... alors tu comprends, je suis obligée.
    
    Il rit à mon explication et glissa deux mains sous mon pull pour attraper mes seins. Je voulus le repousser mais il me rappela les ordres :
    
    - Attention! Tes mains! Tu veux que j'avertisse ton maître?
    
    Je l'ai laissé faire, trop peureuse de désobéir à Gabriel. Il en a profité le salaud et pendant les quelques minutes de queue avant d'entrer dans la grande salle, il a tripoté mes gros seins sans se gêner. J'ai senti sa queue dure enfermée dans son pantalon se coller à moi. Il a pétri mes globes, tiré les tétons jusqu'à me faire mal. Dès que nous sommes arrivés devant la banque de service, il a cessé de me caresser. J'ai dû donner le billet pour payer en gardant les mains telles quelles sur la tête ; de même pour prendre la canette sur le comptoir. Enfin, j'ai ramené la boisson à Gabriel qui ne m'a même pas invitée à m'assoir et manger. Ses copains ont commenté vulgairement mes attributs, d'autant plus que me tétons distendu dans la file pontaient outrageusement sous mon pull.. Lorsqu'ils sont partis, j'ai pu m'assoir et me restaurer un peu, sans guère d'appétit.
    
    Je suis allée aux cours de l'après-midi très perturbée. De-ci de-là des attroupements de bizuts et d'anciens se formaient puis se déformaient mais jamais, je ne vis quelque excès, à part de franches rigolades et moqueries. Aurais-je été la seule fille rabaissée dans le couloir et au resto?
    
    Somme toute, l'unique situation de dégradation constatée ...
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