Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (5) - Histoires de Sexe

Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (5)

... gainées, je lui faisais un nettoyage en règle dans les moindres détails.

Avec mes coups de langue qui s’enhardissaient, j’en arrivais maintenant à effleurer son petit œillet, là aussi elle avait l’air de beaucoup aimer mes incursions. Christiane s’était remise à lui caresser les seins, entre sa poitrine et son entrejambe, notre professeur et moi menions l’offensive sur deux fronts. Sophie était en train de céder au plaisir, dans le regard de Christiane, je commençais à voir de la satisfaction. La mère de Jean-Louis avait une façon bien peu délicate de pétrir, de masser, de malaxer la poitrine de ma copine. Au fond de moi j’étais vraiment gêné que Sophie soit condamnée à vivre une telle épreuve pour un cours de maths. Avec le recul, je me disais qu’elle avait l’air très heureuse de vivre ce qui lui arrivait. Maintenant, assaillie par le plaisir, elle commençait à me serrer entre ses cuisses, la pression augmentait à mesure que le plaisir la gagnait. À un moment, tout s’est arrêté au niveau de ses jambes, j’ai relevé la tête pour regarder ce qui se passait.

Là, j’ai été stupéfait parce que j’ai pu voir, Christiane était en train d’embrasser Sophie, d’une façon on ne peut plus langoureuse. C’était de la première fois que je voyais deux femmes s’embrasser et ces dernières étaient vraiment très belles. Au début je pensais que Sophie se laissait faire, mais en observant de plus près, je n’avais plus de doute, ce baiser était partagé tout comme la fougue que l’on pouvait y ...

... discerner. Ces deux femmes étaient en train de se donner du plaisir, mais surtout de le partager, au fond de moi j’étais heureux de pouvoir contribuer à la jouissance de Sophie qui était en train d’arriver. Profitant de ce moment de cette déconcentration de ma partenaire, je suis de nouveau descendu à la cave pour essayer d’être à l’origine de sa jouissance. Ayant un peu la tête ailleurs, Sophie a bien plus réagi quand je me suis remis à lui brouter son minou. Contrairement à tout à l’heure, où j’axais plus mes coups de langue à de la découverte, là je m’attardai immédiatement sur les parties les plus sensibles.

Ma technique a été on ne peut plus payante, la réaction a été immédiate, il ne lui a fallu que quelques minutes pour se mettre à jouir sous mes coups de langue. J’étais vraiment très heureux d’avoir réussi mon coup, pendant qu’elle jouissait, je ne m’arrêtais pas, sa jouissance montait très très loin. Les voisins allaient encore se dire que Christiane n’arrêtait pas de jouir, ce coup-ci ce n’était pas notre professeur qui jouissait, mais Sophie. Par contre une nouvelle fois, j’étais à l’origine de cette jouissance. La plupart des cris de ma partenaire étaient contenus dans le baiser gourmand de Christiane. J’étais assez admiratif devant la façon dont Sophie était totalement offerte à notre prof, ma copine était réceptive à toutes les sources de plaisir qui lui étaient proposées. Quand je les regardais s’embrasser, je peux vous garantir qu’il n’y avait pas de doute, ...