1. Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (5)


    Datte: 16/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... admirer son intimité. Au fond de moi je me disais qu’à peu de chose près nous étions quittes, car elle avait vu mon sexe et l’avait même pris en bouche.
    
    — Sens ça mon étalon, ça sent vraiment bon la femme désireuse.
    
    Pendant qu’elle me parlait, elle était maintenant en train de me barbouiller la figure de la culotte en lycra de Sophie, mon visage était en train de se recouvrir de sa cyprine et de quelques dépôts, me semble-t-il... Ce n’était vraiment pas désagréable, bien au contraire, mais la façon dont agissait Christiane laissait sous-entendre que je me soumettais à sa façon de faire.
    
    — Ta copine de classe a envie qu’on lui fasse du bien. - Approche-toi, tu vas goûter à son abricot.
    
    J’étais maintenant à quelques centimètres de sa toison intime et je reconnaissais parfaitement l’odeur qui s’en émanait.
    
    Quand j’ai croisé le regard de Sophie, ce dernier était parfaitement approbateur, c’est ainsi que ma langue a commencé à entrer en contact avec ses poils pubiens. Pendant ce temps, Christiane me caressait les cheveux et aussi l’entrecuisse de Sophie. En plus des odeurs de femmes, j’avais aussi les effluves du parfum très raffiné de notre prof, dans les narines. Je peux vous garantir que pour un cours de maths, il était mémorable, j’étais prêt à suivre tous les cours de l’année dans un tel contexte. Maintenant ma langue était en train de se faufiler à la base des poils, je découvrais le clito de ma copine, ce qui la fit sursauter immédiatement.
    
    — Ne t’inquiète ...
    ... pas ma chérie, ton copain de classe va te faire du bien.
    
    — Je peux te garantir qu’il sait très bien s’en servir.
    
    Avec ces propos, Christiane venait de me griller, Sophie allait désormais savoir que j’avais fait des folies avec notre prof. Ses lèvres qui dissimulaient son clitoris, étaient quand même de belles tailles, mais surtout, son clito et les alentours étaient vraiment très sensibles. Au fur et à mesure que je prenais confiance en faisant du bien à ma copine, je progressais au point d’en arriver à son vagin.
    
    L’endroit était totalement inondé et je pense que sa jupe ainsi que le fauteuil allaient être rapidement mouillés, si ce n’était déjà fait. Par moments Christiane me poussait pour aller mettre ses doigts dans la moule de Sophie et ensuite les sucer. C’était vraiment impressionnant de voir ma copine se laisser faire, quand on sait qu’elle est à ce point dissuasive dans la vie de tous les jours. Je sais que pas mal de copains de classe fantasme sur elle, mais tous savent que dans son comportement, elle est coincée comme pas deux. Je savais désormais que Sophie était sans doute la femme la plus débridée de l’école, mais je peux vous garantir que je me serais bien gardé de le chanter sur les toits. Nous étions partis pour nous la partager entre Christiane et moi. Je lui avais maintenant complètement écarté les cuisses, tout mon visage était en train de se recouvrir d’une seconde couche de mouille. Je m’étais maintenant fermement accroché à ses cuisses finement ...
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