Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (5) - Histoires de Sexe

Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis (5)

Salut c’est votre folle de lycra.

Sophie, ma nouvelle copine, était donc chez Christiane pour suivre le cours de maths qu’elle nous dispensait. La mère de Jean-Louis était vraiment très chaude dans ses gestes, cela m’excitait et manifestement Sophie y était aussi très réceptive. Au bout de deux heures de ce cours particulier, j’étais très satisfait de la prestation de Christiane car j’avais vraiment la sensation d’avoir compris certaines choses dans le programme. Arrivant presque au terme de ces deux heures, j’étais surtout chaud comme les braises, et il y avait des odeurs féminines toutes proches de moi, qui ne trompaient pas. Cela sentait très fort la cyprine dans les alentours, et cela ne pouvait pas être moi, je n’avais pas de doute, les deux femmes devaient avoir l’entrejambe trempé. En ayant eu l’occasion de sentir les culottes souillées de chacune, je savais que cela sentait le désir. Jeune et timide que j’étais, je ne me voyais pas faire le premier pas, je ne me voyais pas prendre l’initiative de passer à l’action, avec ces deux femmes si différentes et désireuses à la fois.

S’il devait se passer quelque chose, je ne savais pas qui de Christiane ou Sophie allait faire le premier pas.

— Alors les jeunes, satisfaits de votre prof de maths ?

— Tu sais Sophie, j’ai l’impression que Franck est plus qu’un collègue de classe pour toi.

— Tu es très mignonne et fort désirable, lui est mignon, je suis étonnée tu ne lui aies pas sauté dessus.

Décidément entre ...

... Christiane et Sophie, elles n’avaient pas leur langue dans leur poche, elles ne prenaient pas de gants pour aborder un sujet. Je ne sais pas laquelle des deux femmes me plaisait le plus, mais le côté dominatrice et autoritaire de Christiane faisait quand même pencher la balance de son côté. Pendant que Christiane était en train de nous parler, en même temps elle était en train de masser le cou de Sophie. Elle était en train empiéter sur l’espace intime de cette dernière, mais Sophie avait l’air de beaucoup apprécier. Maintenant les mains de la mère de Jean-Louis s’occupaient de l’avant du cou, elles étaient même limite à lui masser le haut de la poitrine.

J’étais vraiment gêné par le comportement de Christiane, mais quand j’ai vu que les mains de Sophie se posaient sur celles de sa masseuse, j’ai compris qu’elle était vraiment consentante.

— Alors Franck ça te fait bander de me voir masser Sophie ? Ça te fait bander de me voir exciter ta copine de classe ?

Les deux femmes me regardaient, avec un grand sourire en attendant une réponse de ma part, mais j’étais tellement décontenancé, que je ne savais pas quoi répondre. J’étais impressionné par l’assurance que Christiane avait, elle était maintenant en train de littéralement caresser les seins de Sophie. À ma grande surprise ma copine se laissait faire, et en plus elle avait l’air de beaucoup aimer. Je m’en rendais compte à sa façon de fermer les yeux, mais surtout à la façon dont elle soupirait désormais. Maintenant les ...