La Pourpre et l'Or (2) - Histoires de Sexe

La Pourpre et l'Or (2)

... vider les couilles comme jamais tu vas voir. Giclée par giclée. Après cela tu devras attendre longtemps avant de pouvoir éjaculer de nouveau, je te le promets...

Il ne résista pas. Il jouit dans un grand râle et éjacula par saccades dans la main qui le torturait.

Sa tête lui tournait, il était dans le brouillard... abasourdi.

— Pathétique. Deux malheureuses minutes. Et tu penses pouvoir faire jouir beaucoup de femmes avec une queue aussi faible ?

Sa main se referma à nouveau sur la verge de sa victime. Elle le força à la regarder droit dans les yeux. Son regard était celui d’une prédatrice. Elle tenait sa proie et ne comptait pas la laisser s’échapper.

— Après tout peut-être que la main des femmes est ta faiblesse ? Dis-moi mon beau... tu as déjà songé à ma bouche ? A la douceur qu’elle peut avoir sur la peau d’un homme ? Au plaisir qu’il peut ressentir lorsque mes lèvres enserrent sa queue ?

A l’extase qui peut le gagner quand ma langue parcourt son gland ?

Son visage était couvert de sperme fraîchement éjaculé. Elle se lécha les babines en fixant la queue du jeune homme, impatiente de goûter à ce jeune sexe si plein de vie et de promesses.

Le sentant totalement sous son emprise, elle libéra son jouet de ses liens avant de se mettre à genoux en face de sa queue qui semblait animée de vie propre. Le jeune homme n’en crut pas ses oreilles quand Poppée décida de raffermir encore sa prise.

— Maintenant je vais te sucer.

Sa voix était sensuelle... ...

... sexuelle... évocatrice. Sans cesser de le regarder droit dans les yeux, elle se jeta sur lui et prit son gland entre ses lèvres, arrachant un gémissement de plaisir au jeune homme.

Ces yeux... il s’y noyait. Il y lisait à quel point elle aimait le sentir en son pouvoir, sentir qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de lui, qu’elle pouvait tout obtenir de lui, qu’il ferait tout pour qu’elle le fasse jouir.

Poppée maniait sa queue avec un savoir-faire inouï. Quand elle le sentait proche de gicler elle refermait ses lèvres sur son gland et ne le branlait plus que très lentement pour que le sperme redescende lentement dans ses bourses. Quand il s’en éloignait, elle le pompait férocement. Sa langue dansait sur son gland au rythme des pulsations de sa queue. Une danse de feu. Une danse que le jeune homme ne pourrait pas tenir longtemps.

Elle tenait sa victoire. Au bout de quelques minutes, elle sentit le sperme inonder sa gorge. Il éjacula une... deux... trois... quatre... cinq abondantes giclées que Poppée s’empressa d’avaler goulûment.

Il ne fallait à aucun prix qu’il débande. Pas encore. Elle était excitée comme rarement. Sa fente coulait. Elle se sentait chienne. Elle montra alors à son neveu tout ce qu’il avait expulsé au fond de sa gorge.

Le sentant faiblir, elle raviva le feu qui embrasait le jeune homme depuis maintenant plus d’une heure.

-Titus... j’ai soif. Donne-m’en encore. Donne-moi ton sperme.

Sous ses yeux effarés, elle avala la semence du jeune ...