1. Une heure creuse à la fac


    Datte: 18/08/2020, Catégories: fh, jeunes, grosseins, école, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Bastoun, Source: Revebebe

    ... Bander ! Ils me font bander dur !
    
    Stéphanie eut un sourire carnassier :
    
    — Oui, et ils ne vont pas te faire que bander !
    
    Elle agrippa le membre turgescent, toujours à travers le pantalon, et se leva. Julien ne put que suivre le mouvement. Elle le fit se tourner face à la table sur laquelle ses livres étaient ouverts et lâcha sa queue, le temps de passer derrière lui. Elle se colla alors à lui, ses deux énormes seins pressés dans son dos. Elle lui ressaisit la verge en passant sa main droite sous son entrejambe et recommença à le masturber. Avec son corps, elle donnait de violentes ondulations, et Julien sentait à chaque à-coup les deux seins lourds s’écraser contre son dos. Il sentait ses jambes vaciller et s’agrippa à la table devant lui. Elle le dominait totalement et c’est elle qui le prenait, sur cette table, dans cette salle où n’importe qui pouvait entrer d’un moment à l’autre.
    
    — C’est comme ça que tu fais chez toi, hein ? C’est comme ça ? lui marmonna Stéphanie à l’oreille.
    
    Julien ne répondit rien, il haletait comme un petit chiot essoufflé. Stéphanie ferma les yeux, essayant de se concentrer sur les sons émis par son camarade. Elle jubilait de voir dans quel état elle l’avait réduit. Elle le menait littéralement par le bout de sexe et elle pouvait faire de lui ce qu’elle voulait à présent. Elle jeta un œil vers la pendule au-dessus de la porte : quasiment 18 heures ! Décidément, le temps passait vite quand on s’amusait. Une idée diaboliquement perverse ...
    ... lui traversa l’esprit : tout arrêter là et s’en aller en laissant le pauvre garçon à deux doigts de la jouissance absolue. Elle se demandait s’il pourrait attendre d’être chez lui pour se masturber, ou bien s’il le ferait ici même. Non, c’était trop sadique, il l’avait bien amusée après tout, et puis elle pourrait avoir besoin de lui pour faire un devoir, un jour ou l’autre. Tout en surveillant l’horloge, elle accéléra donc le mouvement de va-et-vient qu’elle imprimait à son sexe à travers son pantalon et sentit les halètements de Julien suivre le même rythme. Lui ne voyait ni n’entendait plus rien. Seules les caresses de Stéphanie et les coups que donnait sa poitrine contre son dos le faisaient vivre à présent. Il sentit le frémissement annonciateur de l’éjaculation libératrice. Stéphanie le ressentit aussi, quelques secondes avant 18 heures, et fit encore trois ou quatre mouvements de va-et-vient très rapides avant de serrer le sexe de son camarade de toutes ses forces. Celui-ci, bloqué dans son orgasme, laissa échapper involontairement un gémissement : il sentait le sang tambouriner contre ses tempes, il avait l’impression que son cœur avait cessé de battre, sa verge était sur le point d’exploser.
    
    18 heures ! Stéphanie lâcha son étreinte sur le membre congestionné, et retira sa main. Julien ne put retenir un cri de jouissance, alors que sa semence se répandait par de puissants jets dans son pantalon. Stéphanie recula pour mieux profiter du spectacle : le garçon le plus ...
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