1. Une heure creuse à la fac


    Datte: 18/08/2020, Catégories: fh, jeunes, grosseins, école, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Bastoun, Source: Revebebe

    ... lutta encore, mais un frisson le parcourut lorsqu’il ressentit le mouvement de balancier imperceptible qu’elle commença à imprimer à son buste : non seulement il avait son visage enserré dans cette opulente poitrine, mais en plus il était délicatement ballotté, frottant contre la chair, son nez fourré entre les deux énormes seins. Il ne pouvait pas les voir, mais ce mouvement démoniaque lui permettait de ressentir toute leur lourdeur et leur tendre fermeté : en fait, il avait l’impression que Stéphanie était littéralement en train de lui masturber le visage… Cela eut son effet, et il cessa bien vite de se débattre alors que sa verge gonflait et achevait de se dresser fièrement à travers son pantalon : d’ailleurs, à l’exception de ce dernier organe, Julien n’était plus qu’une petite chose molle et sans volonté.
    
    Appréciant la docilité nouvelle de son camarade de promo, Stéphanie commença par relâcher son étreinte, pour constater dans un sourire que le visage de Julien restait collé contre sa poitrine. Amusée, elle se décida à lui relever le visage de ses fatals appâts afin de contempler les effets de sa perversité sur ce garçon qui avait osé ne pas manifester de manière trop flagrante son intérêt pour elle. Un filet de salive s’étira depuis son sein gauche jusqu’à la bouche de Julien. Le visage cramoisi et ruisselant de sueur, il avait les yeux dans le vide et bavait sans s’en rendre compte. Son sexe n’avait jamais été aussi dur, il avait l’impression que toutes ses ...
    ... sensations, tout son être se concentrait dans sa verge, qui était presque douloureuse tellement il était excité.
    
    — Ah, quand même ! s’exclama Stéphanie en voyant l’énorme bosse sous le pantalon de sa victime consentante.
    
    Elle saisit le gland à pleine main à travers le tissu et commença à jouer avec, à le remuer dans un sens, puis dans l’autre. Julien était complètement dominé et il se laissait faire, les yeux fixés sur les deux énormes seins devant lui, qui tressautaient au fur et à mesure des mouvements que Stéphanie imprimait à son sexe.
    
    — Ah, ils te font bander dur, finalement, pas vrai ?
    
    Julien ne put répondre que par un gémissement.
    
    — Ouais… Et tu t’es déjà branlé en pensant à eux, hein ? Tous les soirs même, tu te branles en pensant à moi, pas vrai ? »
    
    Julien acquiesça d’un faible signe de la tête. Il louchait complètement sur le décolleté offert devant lui et bavait de manière involontaire. Stéphanie trouvait qu’il avait l’air parfaitement grotesque.
    
    — Je veux t’entendre le dire à haute voix ! reprit-elle en accélérant les mouvements qu’elle imprimait au sexe raidi qu’elle tenait entre ses doigts. Je veux que tu le dises bien fort !
    
    Julien soupira :
    
    — Ou… Oui. Je me branle tous les soirs en pensant… à toi.
    — Et à mes seins ?
    — O… Oui. Ils me…
    
    Il s’interrompit un instant, les yeux mi-clos, submergé par l’excitation.
    
    Stéphanie lui enserra fortement la verge dans son poing.
    
    — Ils te font quoi ?
    
    Julien revint à lui immédiatement :
    
    — ...
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