Une heure creuse à la fac
Datte: 18/08/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
grosseins,
école,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Auteur: Bastoun, Source: Revebebe
Julien leva les yeux quand la porte de la salle s’ouvrit. Il avait l’habitude d’y être seul à cette heure : les heures sup’ n’avaient pas la cote à la fac, et l’on ne s’y attardait guère une fois les cours de la journée terminés. Quant aux heures creuses qui parsemaient l’emploi du temps, les étudiants préféraient les passer à l’extérieur de l’enceinte.
Au contraire, Julien aimait bien rester, que ce soit pendant ou en fin de journée. Oh, il ne s’éternisait pas, juste le temps de travailler un peu. Il trouvait ça plus simple de faire cela ici plutôt qu’à la maison : du calme, pas de cris, pas de télévision ni d’ordinateur ni aucune autre tentation. Et puis surtout, il aimait bien traverser les couloirs vides de l’université en sortant en début de soirée, l’atmosphère était complètement différente du brouhaha qui y régnait habituellement pendant la journée.
Les surveillants avaient pris l’habitude de le voir arriver après les cours, après s’en être quelque peu étonnés au début. Mais Julien était un garçon calme et studieux, il n’avait jamais posé aucun problème, et ils ne lui avaient posé aucune question.
— Pff, quel emploi du temps à la con : coincée jusqu’à 18 heures ici pour valider ce truc débile…
Une jeune fille entrait en râlant dans la salle où se trouvait Julien, à entendre le bruit des talons qui claquaient sur le sol à chaque pas. Julien leva les yeux au ciel : il avait pris ses habitudes, et appréciait sa studieuse tranquillité.
— Merde, même pas de ...
... salle libre. Bah, tant pis… maugréa-t-elle en voyant qu’elle n’était pas seule.
Julien la reconnut immédiatement. Comment aurait-il pu en être autrement ? Certes, Stéphanie était dans sa promo, mais ce n’était sûrement pas à cause de cela : elle était régulièrement absente, les études n’étaient pas son fort, et elle le leur rendait bien : elle avait sûrement déjà redoublé une voire deux fois. Ce n’est donc pas grâce à sa présence assidue au premier rang, à ses côtés, que Julien reconnut Stéphanie. Ce n’est sans doute pas grâce à sa beauté non plus : Stéphanie était une jeune fille d’origine maghrébine avec un visage plutôt banal, qu’elle surchargeait généralement de maquillage. On ne peut pas dire qu’elle était ronde, mais elle avait sans doute quelques kilos en trop. Non, ce qui captivait chez Stéphanie, c’était tout simplement… ses seins !
Stéphanie était jeune, mais elle était bien plus dotée que la plupart des femmes d’âge mûr ne le seraient jamais, en tout cas naturellement. Mais surtout Stéphanie était particulièrement fière de sa poitrine, et comme si elle trouvait qu’elle n’attirait pas suffisamment les regards, elle prenait toujours soin de la mettre particulièrement en valeur : depuis ce t-shirt noir ultra moulant avec deux traces de mains imprimées sur le buste, juste au-dessus d’un « Don’t touch » des plus pertinents, jusqu’à des tenues plus ou moins transparentes qui laissaient deviner l’essentiel de ses deux fabuleuses excroissances mammaires, en passant, ...