Une heure creuse à la fac
Datte: 18/08/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
grosseins,
école,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Auteur: Bastoun, Source: Revebebe
... comme aujourd’hui, par un décolleté en V ravageur qui laissait clairement apparaître le superbe sillon qui creusait sa volumineuse poitrine.
Elle s’assit au centre de la salle. La table de Julien faisait face à une fenêtre, il s’était donc complètement retourné afin de suivre des yeux la nouvelle venue, ou plutôt son décolleté. Il retourna précipitamment à son livre d’algèbre lorsque Stéphanie leva les yeux sur lui.
— Toi ? Qu’est-ce que tu fous là à cette heure ? Faut aussi que t’ailles passer ce truc de rattrapage tout à l’heure ? demanda-t-elle d’un air goguenard.
— Euh non, je viens bosser ici de temps en temps… Je fais le boulot pour le lendemain, comme ça je suis tranquille chez moi… répondit-il en s’efforçant de la regarder dans les yeux.
Elle sentit ses efforts et ne put réprimer un sourire. Elle aimait cela, se sentir l’objet de toutes les attentions. C’est la seule chose qui pouvait la décider à se lever pour aller à la fac : écouter le silence qui se faisait dans l’amphi lorsqu’elle y faisait son apparition (en retard, toujours, que tout le monde puisse profiter de son arrivée), et s’imaginer combien de queues allaient pouvoir se dresser juste du fait de sa seule arrivée. Elle aimait à penser également que tous ces garçons qui fixaient sa poitrine si avidement se masturbaient en pensant à elle, le soir, une fois chez eux.
Mais plus encore que d’hypnotiser des garçons de son âge, elle adorait voir un professeur tomber dans le piège de ses seins, et ...
... avoir subitement du mal à articuler ses phrases et des difficultés à marcher droit. Bref, elle adorait ce pouvoir que sa poitrine lui donnait sur les hommes. Et qu’un garçon, fût-il le major de sa promo, fasse l’effort de ne pas la regarder où il devrait, et surtout y réussisse, cela la contrariait à vrai dire.
Elle se leva, et s’approcha de lui.
— C’est les maths pour demain, ça ? dit-elle, alors qu’elle se tenait directement au-dessus de lui.
— Euh oui… répondit-il en plongeant dans son cahier.
— Cool, tu pourras me les passer quand t’auras fini, que je recopie ça. J’aurais pas perdu mon temps comme ça.
Elle retourna à sa place et Julien put reprendre sa respiration qui s’était bloquée sans qu’il s’en rende compte alors que Stéphanie se penchait au-dessus de lui. Mais son calvaire n’était pas fini, puisque celle-ci vint s’installer à la table d’à côté. Il fit mine de rester absorbé dans son exercice d’algèbre.
— Je peux te poser une question ? demanda tout à coup Stéphanie pour rompre le silence.
— Comment tu fais pour être aussi intelligent ? Je te vois, là, on dirait que tu réfléchis même pas pour faire ces exos… Moi, j’y comprends rien !
Julien rougit, s’arrêta d’écrire pour lui répondre, mais toujours sans lever le nez de son cahier. Il s’était masturbé la veille en pensant à cette énorme poitrine qui hantait probablement les rêves les plus chauds tous les mâles de l’université, et qui se trouvait à quelques centimètres de lui. D’ailleurs, il connaissait ...