Clarisse, maman au foyer
Datte: 15/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... genou dessus et nue, les mains sur sa tête. Elle se plie à toutes mes demandes sans aucune objection, un délice.
« Tu aimes ? »
« Beaucoup Monsieur ! »
« Tu en veux plus ? »
« Tout ce que Monsieur voudra m’imposer, j’aimerais, Monsieur peut en être certain ! »
« Je crois que je suis amoureux de la femme la plus extraordinaire qui soi. »
« Alors, sachez que nos sentiments nous unissent désormais, Monsieur Alain. »
Je lui donne à boire son café en massant son corps merveilleux. Parfois, je fesse tendrement son corps à l’endroit qu’il me plait de fustiger, même ses joues. Elle ne déteste pas, loin sans faut. Je la prends sans autre, son sexe est ouvert et largement humide. Femme dévouée dont son mari n’avait pas su découvrir ses avantages. Je la fais jouir en lui disant que ce ne sera pas toujours le cas. Sa tête sur la table, elle pousse un long soupir en se mordant sa main.
On ne va pas plus loin, les enfants commencent déjà à se réveiller de leur sieste. On boucle la cabane et rentrons par un autre chemin. Dans le quartier, me voyant en compagnie de cette femme, on comprend vite que je suis accro. Sur une terrasse d’un bistrot, le bonhomme se prend une petite glace, ma docile, un soda. La petite ne pouvant encore commander sa boisson, elle contente de son biberon. Le soir, chez ma voisine, je la sodomise longuement tout en fessant amoureusement sa croupe merveilleusement dodue.
Une journée de travail, ça passe vite quand on sait qu’une femme ...
... s’impatiente de ne pouvoir vous servir. Elle passe ses journées entre son appartement et le mien. Elle me fit mon ménage, ma lessive et bien plus encore. Jamais mon appartement ne fut si propre qu’avec Clarisse.
Un jour, près de huit mois plus tard, elle vint me trouver dans mon appartement, un soir, après avoir couché ses enfants. Elle se mit à genou devant mes pieds, se pencha en avant, tel un sphinx.
« Monsieur, il me plairait de vous appartenir pour toujours. »
« Mais tu es à moi ! »
« Oui, je le sais, je vis cette appartenance à chaque seconde qui passe et j’aime ça. C‘est que je vous aime pour tout vous dire. Seulement, il me manque quelque chose, ce petit quelque chose qui fera de moi votre pute encore plus docile. »
« Et c’est quoi ? »
« Des anneaux, Monsieur. Aussi, je vous demande humblement la permission de me faire annelée. »
« L’idée est bonne. Où veux-tu porter des anneaux ? »
« Sur mon sexe, sur le capuchon de mon clitoris. Il y a mes seins, un par tétons. Monsieur pourra ainsi me suspendre par ces anneaux. Enfin, S’il plait à Monsieur, à mon nez, sur ma cloison nasale, pour que Monsieur puisse me promener en laisse. »
« Je suis d’accord, mais as-tu la moindre idée du cout ? »
« Je possède quelques économies qu’il me serait facile d’utiliser pour ça, Monsieur. Et puis, je travaille le cuir de manière artisanale, cela me permet d’améliorer notre ordinaire. Mon martinet est un exemple du fruit de mon labeur. »
Je posais mon pied sous son ...