Clarisse, maman au foyer
Datte: 15/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... visage, elle me le lèche, me le suce avec une dévotion qui ferait pâlir bien quelques soumis. Jamais femme ne fut plus dévouée, plus docile qu’Clarisse. Puis, elle passe à l’autre pied. Cette fois, le corps bien droit, tenant mon pied entre ses douces mains. Je fixe son visage, m’imaginant son nez annelé. Je me vois faire nos courses, le tenant en laisse, poussant son landau et tenant son fils par la main. Sauf que, ben, dans mon quartier, ma réputation d’homme bien sous tous rapports en prendrait un sérieux coup dans la poire. Je me vois alors, la promenant encore en laisse, sauf qu’elle était fixée à son sexe cadenassé ou à celui de son clitoris. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour voir ces images venues du fin fond de ma tête de pervers. Lentement, inexorablement, sa bouche remonte le long de mes jambes, passant d’une à l’autre. Je bande ferme. J’ai envie de ce corps et pourtant, si l’envie est très forte, je la laisse faire. Je dois me faire v******e pour ne pas la retourner et la prendre comme un chien baisant sa chienne.
« Si tu devais me donner une partie de ton corps ? »
« Ma bouche, pour vous sucer dès votre réveil, être toujours là à la moindre érection du Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi ou le comment si ce n’est que c’est pour votre seul plaisir, Monsieur mon Maître. »
« Ce ne serait pas désagréable, en effet. »
Alors, mon imagination devint encore plus fertile en ...
... perversité. Il me sembla que je sentais cette bouche, sa langue nettoyer mon cul, mon chibre à tout instant de la journée. J’imaginais des choses peu ragoutantes et je bandais encore plus fort. Je ne tins pas plus longtemps. Je pris sa tête de mes mains et sa bouche se posa sur ma queue. Je ne fus tranquille dans ma tête qu’au moment de jouir dans sa bouche. Elle prit alors mon verre de bière, y trempa mon auriculaire, l’effet fut immédiat, dans sa bouche, je me soulageais, elle me but jusqu’à la dernière goute.
« J’ose espérer que mon Maître aime sa salope. Parce que sa salope l’aime quand il se montre sale avec elle. Sachez que le slip du Maître oublié chez moi me sert de bâillon quand je me fouette de mon martinet, le soir. »
« Alors vas le chercher, ton martinet. »
« Avec grand plaisir, Monsieur. Monsieur, dois-je prendre des bougies afin de me couvrir de cire brulante ? »
J’ai accepté. Elle revient aussi vite qu’elle est partie. Elle se positionne à genou, le corps bien droit, ses bras levés vers le plafond. De son martinet, je se rougis sa poitrine, son ventre. Elle se mord ses lèvres à chaque coup. Parfois, elle ferme ses yeux, comme pour mieux sentir la brulure des lanières. Je lui donne ma queue à sucer. Penchée en avant, je zèbre son dos avec son martinet. Plus je frappe, plus elle gémit, la bouche remplie de mon chibre. Puis d’une bougie allumée, je répands cette cire brulante sur son dos, ses fesses et entre ses fesses. La belle remue du croupion, cela ...