1. Clarisse, maman au foyer


    Datte: 15/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... bon les croissants tièdes. Trois beaux croissants au beurre salé dans ce sac, ceux que je préfère, un déjeuner de roi en somme. Un mot encore, cette fois nettement plus explicite : « De la part de votre désormais dévouée et docile soumise. » L’écriture est, cette fois, particulièrement appliquée et le doute n’est plus permis.
    
    Bien après l’heure du diner, je suis allé sonner chez elle. M’ouvrant la porte, elle baisse son regard. Je lui propose une balade avec ses enfants, dans le bois voisin. J’ajoute qu’il me serait très agréable qu’elle ne porte rien de plus qu’une simple robe. Je la vois rougir en remuant sa tête affirmativement en se mordillant nerveusement ses lèvres. Une demi-heure plus tard, nous marchons en direction de ce bois.
    
    « T’es-tu déjà promenée nue sous tes vêtements ? »
    
    « Non, Monsieur, jamais, mais j’aime ça, soyez en certain ! »
    
    « Moi aussi, c’est plus facile pour aimer un femme telle que toi ! »
    
    « Désormais, je ne mettrais plus de culotte pour vous être agréable, Monsieur ! Ainsi, Monsieur Alain pourra baiser sa petite pute quand il le souhaitera. »
    
    On se fixa, le garçon jouait, un peu plus loin devant nous, tel un preux chevalier avec un bâton en guise d’épée à occire quelques méchants dragons. J’en profite pour embrasser sa mère tendrement en glissant mes mains sous sa robe. Elle est délicieuse en se laissant faire. Sa chair est douce et fraiche au touché et je bande comme un âne en rut. Elle mouille en abondance ce qui me procure un ...
    ... plaisir sans limite. Elle me donne la preuve qu’elle aime ce qu’elle subit. Je lui fais lécher mes doigts, elle le fait avec une dévotion qui me fit définitivement fondre en prenant ma main dans les siennes. Je prends la direction d’une cabane de chasse que je connais bien. Plus nous avançons, plus je défais les boutons de sa robe. Bien plus docile que je ne me l’imagine, elle m’offre des perspectives de vie des plus intéressantes. Je profite de sa docilité pour la questionner sans qu’elle ne puisse me mentir. J’ai coupé une branche de noisetier pour agacer ses cuisses. Elle ne me ment pas, et j’ose croire que le mensonge ne fait pas partie de son mode de vie. Aussi, j'apprends le la cause de son divorce. Son vieux ne la touchait plus, buvait un peu trop en fin de semaine et la trompait outrageusement avec une de leurs voisines. S’il avait su quelle femme il avait auprès de lui, ce gros con, enfin... En fait, son besoin de se sentir obligée lui est venue après l’accouchement de sa fille, une envie de ne plus s’appartenir, d’être asservie, dominée, réduite à l’état d’objet sexuel. Elle n’est même pas incapable de me dire d’où lui venait ce profond désir soumission. J’ai la ferme intention de lui donner satisfaction et pas plus tard que dans la cabane de chasse.
    
    Devant la cabane, son fils montre des signes évidents de fatigues. J’ouvre la cabane, installe ce petit gars dans un lit, sa sœur juste à côté. Je fais du café. Pour elle, je lui réserve un tabouret, la positionnant à ...
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