Une patronne frustrée (2)
Datte: 14/08/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: LaLouveBleutée, Source: Xstory
... calmer mon trouble.
Le soir arriva rapidement, il fallait que je prenne une décision. La raison me poussait à ignorer sa proposition et reprendre ma vie d’avant. Oui mais quelle vie ? Depuis que mon mari s’était détourné de moi, je m’ennuyais mortellement, Jonathan avait ravivé les flammes et maintenant le brasier ne voulait plus s’éteindre.
Mon choix était fait, tant pis pour ma bonne éducation, je voulais à présent m’amuser sans tabou.
Sortant de l’établissement je vis qu’il m’attendait dans sa voiture, je m’y dirigeai d’un pas déterminé. Ouvrant la portière, je m’installai, puis le regardai.
— J’accepte, dis-je simplement.
— Je savais que tu viendrais, Laurie, une belle bourgeoise comme toi veut du vrai sexe, tu vas être servie avec moi !
Il démarra la voiture, un sourire aux lèvres. Durant le trajet j’en profitais pour l’observer discrètement. Il était un peu plus vieux que moi, pas vraiment beau mais il avait un charisme naturel.
— Où m’emmènes-tu ?
— Chez moi, on sera plus à l’aise, en attendant caresse-moi, m’ordonna-t-il.
Je n’avais plus le choix, la situation m’excitait et je passais la main sous le pantalon, sentant un début d’érection. Je m’amusais à le toucher par-dessus le caleçon, sachant qu’il faisait déjà nuit et qu’on ne pourrait pas me voir. Il semblait apprécier le traitement et je continuai avec plus de vigueur, empoignant sa longueur et massant ses couilles. Il finit par arriver devant un immeuble et se gara. Sur ses ordres ...
... j’enlevais la main de son caleçon.
— Tu m’as bien excité, va falloir assumer.
Je souris et le suivis dans le bâtiment, nous entrâmes dans son appartement beaucoup plus modeste que le mien. À peine eut-il fermé la porte qu’il se précipita vers moi. Nous nous déshabillâmes avec hâte, j’avais attendu toute la journée. Me portant vers la chambre, il me déposa sur le lit et m’ordonna de le sucer. Son pénis était bien dur, ma main ayant déjà débuté le travail. Je commençais à le lécher de haut en bas, il avait un goût de transpiration ce qui me stimulait encore plus, au lieu de me dégoûter. Ouvrant grand la bouche je me mis à le pomper avec ardeur, essayant d’en faire rentrer le plus possible dans ma bouche.
— Tu as faim petite salope, mets tes mains dans le dos.
Je fis ce qu’il me demandait et il prit le contrôle de ma bouche. Comme la fois précédente, il faisait varier le rythme poussant ma tête ou donnant des coups de bassins. Je commençais à m’habituer et respirais par le nez pour ne pas m’étouffer. Puis il me fit lécher ses bourses poilues, me faisant mettre à genoux, les mains toujours dans le dos. Je m’appliquais à lécher et gober ses couilles alors que j’avais toujours répugné à faire cela. Même lorsque j’étais soumise à mon mari, il y avait certaines choses que je trouvais dégradantes. A présent je trouvais cela pas si désagréable, au contraire j’y prenais plaisir pour satisfaire mon assistant qui me caressait la tête, en poussant des soupirs.
— Tourne-toi à ...