1. Sonia réalise son fantasme à l'Armada du siècle


    Datte: 13/08/2020, Catégories: fh, inconnu, uniforme, grossexe, bateau, Oral pénétratio, fdanus, totalsexe, Auteur: Leon, Source: Revebebe

    ... réponds-je.
    
    Nous éclatons de rire. Il m’invite à m’asseoir sur le lit et enlève ses chaussettes, les seuls vêtements ayant résisté à mon premier assaut. Devant mon air désolé, il éclate de rire et ajoute :
    
    —Non è problema..
    
    Il me détaille du regard et entreprend de me mettre dans la même tenue que lui ; jupe, escarpins et mon petit string ne lui résistent pas bien longtemps. Il se place au-dessus de moi. Ses lèvres me picorent ; sa langue n’est pas en reste : mon cou, mes seins, mes tétons, tout y passe, tout est câliné, dégusté, titillé. Je sens que sa virilité apprécie le spectacle ; elle retrouve sa vigueur. Un sentiment bizarre se mélange tout à coup ; j’ai hâte qu’il me prenne, mais la taille de son mandrin me pose des questions : rentrera-t-il ? Et s’il veut posséder ma petite porte secrète, vais-je le laisser faire ? Un coup de langue appuyé sur mon bouton me sort de ma torpeur : il me lèche, me lape. Je défaille ; mon corps se tend comme un arc, accentuant le contact avec la bouche de mon assaillant. Un premier orgasme me submerge ; je me mords les lèvres pour ne pas crier, n’ayant pas oublié où nous sommes. Je me relâche et tente de reprendre mes esprits ; Sergio, le visage luisant de mouille, vient se lover contre moi.
    
    Mélangeant l’italien et le français, il sonde mon état d’esprit :
    
    —La signorina est contente d’être ici ?
    
    J’essaie de me souvenir de mes cours du collège.
    
    —Si, grazie mille : è un bel regalo che mi hai fatto… bredouillé-je, ...
    ... traduisant au mieux le cadeau qu’il m’a offert en réalisant non pas un, mais deux de mes fantasmes.
    
    Ses mains se promènent toujours sur mon corps, agaçant mes tétons toujours dressés d’excitation. Je me redresse et me saisis de son sexe en pleine forme. Quelques va-et-vient : il grogne, les yeux brillants. Je me positionne à califourchon au-dessus de lui, puis lentement j’engloutis son bâton de chair. La sensation est divine ; j’ai l’impression d’être totalement remplie, et pourtant mes fesses ne sont pas encore en butée sur ses cuisses. Je commence à onduler du bassin, puis les premiers mouvements de haut en bas. Sergio se saisit de mes seins ; il les pétrit, les malaxe, grommelant des mots en italien que je ne comprends pas.
    
    À mon tour, je m’exprime :
    
    — J’adore ta queue, elle me fait du bien ! Uhmmmmm, oui, ta grosse queue en moi…
    
    J’accélère le rythme ; mon souffle est court, je me sens défaillir. Il a posé ses mains sur mes fesses et fouille mon sillon pour découvrir mon petit trou. Accompagnant mes mouvements, un doigt pénètre l’œillet ; l’excitation est à son comble, et dans un cri rauque je jouis pour la deuxième fois de la soirée. Je m’écroule sur son torse, sa queue toujours fichée en moi.
    
    Je n’ai pas vraiment le temps de récupérer que Sergio se dégage de dessous moi et me fait comprendre que je dois me mettre à quatre pattes ; je m’exécute.
    
    —Tutto va bene ! me lance-t-il sans attendre la moindre réponse.
    
    Il reprend possession de ma chatte et me ...