Sonia réalise son fantasme à l'Armada du siècle
Datte: 13/08/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
grossexe,
bateau,
Oral
pénétratio,
fdanus,
totalsexe,
Auteur: Leon, Source: Revebebe
... le charrient gentiment. Une musique retentit dans le fond de la salle ; la foule s’écarte, laissant place à deux couples qui se lancent dans une samba endiablée. Les tatouages sur les corps des deux marins ne laissent planer aucun doute sur leur lieu de naissance : ce sont deux Brésiliens qui font virevolter leur partenaire. Les applaudissements et les cris accompagnent chacune des prouesses techniques réalisées par l’un ou l’autre des couples ; la chaleur est à son comble.
Profitant du moment où ses compagnons sont concentrés sur la piste de danse, Sergio me tend la main, attrape son couvre-chef et m’emmène à l’extérieur, où le son est moins fort. Il me susurre à l’oreille :
— Comme tu as du l’entendre, moi, c’est Sergio.
Son accent est à tomber…
— Enchantée ; moi, c’est Sonia.
— Ça ne te dérange pas d’être sortie ? me questionne-t-il.
— Non : accompagnée d’un aussi beau jeune homme, c’est même un plaisir… ajouté-je d’un air malicieux.
Son visage s’empourpre un petit peu. Nous commençons à flâner au gré de la foule. Son regard plongé dans le mien, il commence sa cour d’un ton mal assuré, butant sur les mots, mais ceux qui sortent de sa bouche résonnent comme une chanson.
— Tu es très jolie… soupire-t-il.
Je m’amuse avec lui :
— Monsieur est flatteur ! lui réponds-je, les yeux papillonnants.
Notre discussion se poursuit. Je sens sa main dans la mienne ; il joue avec mes doigts, les caresse. Nous longeons les quais lorsque je m’étale de tout mon ...
... long, la faute à un bout d’amarrage dans lequel je me suis pris les pieds. Penaud de n’avoir pu éviter ma chute, Sergio m’examine : genoux, mains, il inspecte toutes les parties de mon corps qui ont pu entrer en contact brutal avec le sol. Devant mon sourire, il comprend bien vite que je ne me suis pas fait mal. Il me tend ses mains et me relève. Je me retrouve nichée au creux de ses bras, la tête posée sur son torse que je devine puissant. Je redresse les yeux ; nos bouches sont attirées comme des aimants.
Premier contact de nos lèvres ; un frisson me parcourt l’échine. Collée contre lui, je sens que notre corps-à-corps lui plaît. Sa main droite glisse sous mon chemisier et me caresse le dos. Il joue avec l’attache de mon soutien-gorge ; je la sens céder.
— Non, pas ici… soupiré-je.
—A tacasa ? me répond-il, mélangeant les mots des deux langues.
— Non, ce n’est pas possible : je vis chez mes parents.
Son regard se trouble ; je lui lance :
— Allons dans ta cabine.
Sans le laisser répondre, je colle mon pubis contre la bosse de son pantalon et me frotte doucement. Il bredouille :
—Non è possibile… Non… possi…
J’accentue les mouvements de mon bassin. Il met un doigt sur ma bouche et me tire par la main et fend la foule. Nous voici au bas d’une passerelle ; je lève les yeux, émerveillée : un magnifique trois-mâts se dresse devant nous. Il me regarde et me fait signe de le suivre sans bruit. Nous nous faufilons au travers des méandres du bateau ; il toque à ...