1. Sonia réalise son fantasme à l'Armada du siècle


    Datte: 13/08/2020, Catégories: fh, inconnu, uniforme, grossexe, bateau, Oral pénétratio, fdanus, totalsexe, Auteur: Leon, Source: Revebebe

    ... une porte : pas de réponse. Nous nous coulons à l’intérieur d’une petite pièce exiguë ; trois couchages et un bureau pour seul mobilier. Il coince la chaise sous la clenche de la porte.
    
    Je n’en reviens pas : je vais réaliser mon fantasme ! Il se tourne vers moi, m’attrape par les hanches et me colle à nouveau contre lui. Nos bouches se soudent, nos langues se cherchent, se trouvent ; je tremble. Mon chemisier et mon soutien-gorge ne tiennent pas longtemps : ils jonchent le sol ; sa chemise ornée de différentes décorations prend la même direction. Comme pressenti, son torse est musclé, son ventre plat, et ses abdominaux parfaitement dessinés. Je quitte ses lèvres, ayant trop envie de découvrir le reste de ma convoitise, et notamment ce bâton dur que je sens depuis tout à l’heure.
    
    À peine quelques secondes et je suis à genoux, les yeux rivés sur cette bosse qui déforme le pantalon parfaitement ajusté. Le bouton saute, la fermeture est dézippée ; le tissus glisse. Face à moi, le boxer ne peut contenir l’ensemble de ses attributs masculins. Je me mords les lèvres : c’est la première fois que je vois un braquemart aussi gros, aussi long ! Je coule littéralement… Moi qui fantasmais de me faire prendre par un mec très très bien monté, ce n’est pas un, mais deux fantasmes que je vais réaliser.
    
    — Ouahhhhh, Sergio, ta queue est magnifique ! lui dis-je, mon regard plongé dans le sien et mes deux mains coulissant sur le vit sans parvenir à en faire le tour.
    —Ti piace ? ...
    ... me répond-il sans que je comprenne réellement le sens de ses mots.
    
    Un petit bisou, puis quelques coups de langue savamment distillés ; j’essaie de le prendre en bouche mais ne parviens à n’en prendre qu’un petit morceau. Je ne me démonte pas. Ma langue le parcourt, mes mains coulissent à la base de ce membre dressé. Il grommelle :
    
    —Uhmmmm, bella… Si, uhmmmmmm…
    
    Ça m’encourage ; je m’applique. Son gland turgescent en bouche, je le câline, je le chois, je l’entoure de ma langue ; un petit goût sucré-salé sur ma langue, annonciateur du plaisir qui monte ; les« Si, ohhhhhhhhh… Si, bellllla ! » s’accélèrent ; ses mains me caressent les cheveux, guident ma tête pour son plaisir. Je veux qu’il jouisse dans ma bouche, je veux me délecter de son jus. Ses jambes tremblent, son bassin ondule ; il me baise la bouche, et dans un grand râle le premier jet s’écrase sur mon palais. Je déglutis tant bien que mal. Un filet de sperme s’échappe de la commissure de mes lèvres ; j’avale le maximum de ce qu’il m’est possible, le reste me souillant le menton et les seins.
    
    Il me redresse ; mes lèvres rejoignent les siennes. Il a un petit rictus lorsque nos langues se touchent, signe que ce n’est pas une pratique qu’il a eu pour habitude de faire. Il se dégage de mon emprise, me transperce du regard et, le sourire aux lèvres, me lance :
    
    —Sei una bella birichina !
    
    Je fronce les yeux, marquant mon incompréhension. Il ajoute :
    
    — Belle co… quina,si ?
    — Moi, une coquine ? lui ...