La coupe du monde - Histoires de Sexe

La coupe du monde

... fille et moi le père.
— Dis, elle est bien, la fille ? s’inquiète Marc.
— Tout à fait baisable, je t’ass…

Il se tait brusquement. Jean et Marc se retournent. André leur sourit.

— Ah ! Vous êtes là !
— Oui, nous prenons le frais.

L’avocat leur tend un verre de bière, qu’ils sifflent.

— Ah ! ça fait du bien !
— N’est-ce pas ? Que fait mon épouse ? s’inquiète André en se retournant vers le salon. Ah les voilà !

Odile apparaît, suivie par une jeune fille de dix-huit ans à peine, qui s’avance vers Luc et l’embrasse sur les joues.

— Bonsoir, Luc, comment tu vas ?
— Très bien, je te remercie. Je te présente mes copains, Jean et Marc. Et voici Martine, la fille de nos hôtes.
— Bonsoir mademoiselle, annoncent ensemble les deux garçons en tendant la main.

Jean l’examine du coin de l’œil. Il doit convenir qu’elle n’est pas mal, la gamine, mais pas assez de poitrine à son goût. Elle n’a pas la chance de sa mère. Du 100E ! Son record ! Il lance un regard ému sur les rondeurs imposantes.

— Oh !

Il réalise qu’Odile a ôté son soutien-gorge et que les globes balancent librement sous le fin chemisier.

— Qu’avez-vous ? s’inquiète la mère. Vous vous êtes fait mal ?

Elle s’approche du garçon, qui peut admirer les rondeurs dans l’échancrure du chemisier.

— Non… euh… Je croyais avoir fait tomber de la bière. Je vois qu’il n’en est heureusement rien.
— Rentrons, invite André. Le match va recommencer.

Marc se fiche bien du match. Il n’a d’yeux que pour ...

... Martine. Pourvu qu’elle ne soit pas vierge ! Ça risque de poser des problèmes devant les parents ! Timidement, il lui prend la main. Une œillade coquine lui répond. C’est tout bon, ça ! Ils suivent le reste de la troupe.

André retrouve son canapé. Il y attire Luc. Il aimerait reprendre le contact de la queue du garçon mais hésite devant le regard que lui lance Odile. Puis la présence de sa fille est gênante. Il vaut mieux attendre la fin du match. Il espère alors pouvoir isoler le garçon.

Odile et Martine se serrent l’une contre l’autre pour permettre aux deux garçons de s’asseoir à leurs côtés. Comme à la fin de la première mi-temps, Jean glisse la main sous le tissu du chemisier. Il n’y a plus de dentelle pour s’intercaler entre la peau tendre et ses doigts. Il s’amuse à tortiller le bout du sein qui s’allonge sous la caresse. En remerciement, Odile pose la main haut sur le pantalon.

De son côté, Marc se bat avec la jupe légère. Sa main se perd dans le tissu et ne parvient pas à glisser dessous. Il n’ose tirer, de peur de se faire remarquer par les parents. Enfin, ses doigts touchent le satin de l’épiderme. Martine ne bronche pas. Au contraire, elle se rapproche du jeune homme. Il remonte la main jusqu’à la fourche des cuisses et chatouille le mont de Vénus à travers la culotte. Martine ne le bloque que lorsqu’il veut s’introduire sous le tissu.

André, après avoir contrôlé que les autres participants sont captivés par la télévision, veut reprendre la caresse sur ...