La coupe du monde
Datte: 11/08/2020,
Catégories:
grp,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
fête,
hdomine,
noculotte,
entreseins,
pénétratio,
hsodo,
exercice,
délire,
Humour
Partouze / Groupe
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... pas être trop difficile, s’il prend la précaution de se cacher du mari.
— Dites… Est-ce que je peux vous demander quelque chose, madame ?
Jean caresse doucement la paume qui tenait sa main.
— Si ce n’est pas indiscret.
— Euh…
— C’est si mal que ça ?
Jean baisse les yeux, comme s’il était timide. Odile se laisse prendre.
— Bon allez-y, je vous autorise.
— Dites, votre soutien-gorge, c’est du 100E ?
— Oh ! Vous n’avez pas honte de me demander ça ? Et devant mon mari, en plus ?
— Que racontez-vous ? s’inquiète celui-ci.
— Rien, rien, des bêtises, le rassure Odile.
— Vous m’avez pas répondu, insiste Jean.
— Que voulez-vous que je vous dise ? Que vous avez le compas dans l’œil ? Oui, je le confesse, je suis obligée de porter des soutiens-gorges de cette taille. Mon mari me le reproche assez !
— Oh ! Vous ne voulez pas me dire qu’il n’aime pas votre poitrine ?
— Il la trouve trop volumineuse.
— Quel manque de goût ! Moi, à sa place…
— C’est vrai qu’ils te plaisent, mes seins ?
— Oh oui !
Discrètement, Jean glisse la main sous le chemisier et remonte à l’abri du tissu, jusqu’à atteindre un mamelon qu’il soulève de la paume. Il a le plaisir de sentir le tétin durcir sous la dentelle.
— Voulez-vous vous tenir tranquille ! Vous n’êtes pas raisonnable.
Jean ne tient aucun compte de la remarque et appuie la caresse. Odile jette un coup d’œil vers André, tourné vers Luc.
— Euh… Pas devant mon mari, s’il vous plaît.
— Si vous bougez pas, il ...
... s’apercevra de rien.
La poitrine de sa femme est le dernier souci d’André, en ce moment. Sa main caresse la braguette de son compagnon. L’absence de réaction l’encourage. Ses doigts se referment sur la tige par-dessus du pantalon, pendant qu’il échafaude des projets pour isoler son jeune compagnon. Luc s’amuse de voir les efforts de l’avocat. C’est de bon augure pour la suite. Marc passe les mains sur les fesses d’Odile, qui semble ne pas s’en rendre compte, toute émue qu’elle est par les caresses de Jean sur ses seins.
L’arbitre siffle la mi-temps. André se lève.
— Excusez-moi, je vais aux toilettes. Sers donc à boire à ces messieurs.
— Votre fille n’est pas là, ce soir ? interroge Luc.
— Si, répond Odile, elle s’est réfugiée dans sa chambre, car elle n’aime pas trop le foot.
— Monte la chercher et demande-lui de descendre, ordonne André. Elle tiendra compagnie à monsieur, que le match n’a pas l’air de passionner, ajoute-t-il en désignant Marc. Je ferai le service des boissons.
Luc se dirige vers le balcon. Jean et Marc le rejoignent.
— Dis, je savais pas que t’étais pédé, persifle Marc. Tu vas voir qu’il va t’enculer d’ici la fin de la soirée.
— M’enculer ? Moi ? T’es ouf ! C’est lui qui va y passer, et pas plus tard que tout de suite.
— Tu crois qu’il te laissera faire ? s’amuse Jean.
— On parie ? Toi, de ton côté, tu as un ticket avec Odile. M’est avis que les rôles sont distribués pour la deuxième mi-temps. À toi, Jean, la mère et ses gros nichons, Marc la ...