La coupe du monde
Datte: 11/08/2020,
Catégories:
grp,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
fête,
hdomine,
noculotte,
entreseins,
pénétratio,
hsodo,
exercice,
délire,
Humour
Partouze / Groupe
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... cela ne vous dérange pas ?
— Pas du tout, ment Jean. Nous ne voudrions pas vous priver du spectacle.
La jeune femme se lève pour chercher la télécommande. André, d’un geste naturel, pose la main sur la cuisse de Luc. Celui-ci soutient le regard de Marc qui sourit. Voilà pourquoi ils ont été accueillis dans cette maison ! L’avocat a des vues sur le fils de son confrère ! Odile revient vers sa place. Elle se penche et offre à Jean une vue plongeante sur sa poitrine. Le garçon avale sec. Que ne donnerait-il pas pour patouiller ces globes laiteux ! Le match commence. Bien qu’elle ait déclaré ne pas être aussi passionnée que son mari, Odile ne tient pas en place dès que l’équipe de France possède le ballon.
— Oui, vas-y ! Vas-y !… Oh ! Vous avez vu ? se plaint-elle en se tournant vers Jean. L’arbitre n’a pas sifflé et pourtant il y avait faute !
Le garçon approuve de la tête, incapable de détacher le regard des seins qui tressautent et que la jeune femme expose sous ses yeux. Marc, lui, se contente de triturer la chair de la cuisse que les mouvements ont libérée de la jupe. André suit les évolutions des joueurs, tout en caressant le pantalon de Luc. Il y a longtemps qu’il rêve de ce garçon, ce jeune homme, maintenant. Il s’enhardit et enveloppe l’épaule d’une main distraite. Luc ne bronche pas.
— Vas-y, lâche-toi, espèce de vieux pédé. On verra ce que tu diras tout à l’heure quand je m’occuperai de ton cul ! murmure-t-il entre ses dents.
Il adresse un sourire à son ...
... hôte et pose les doigts sur le pantalon de l’avocat.
— Oh non, c’est pas vrai ! se désole Odile, dont le chemisier s’ouvre, libérant à moitié les seins maintenus par un soutien-gorge carmin.
André tente de la calmer.
— Je t’en prie, que vont penser ces jeunes gens !
— Y a pas penalty ! L’attaquant fait du cinéma ! continue sa femme, qui en oublie de refermer son corsage.
— C’est pourtant l’avis de l’arbitre, suggère timidement Jean, pendant que l’homme en noir désigne le point blanc devant le but français.
Un Espagnol se prépare à tirer. Il recule, prend de l’élan. Odile, prise par le spectacle, serre convulsivement la main de ses voisins. Le joueur marque le but.
— Oh !
La jeune femme déçue, ramène les bras contre la poitrine. Marc, gêné, se dégage. Les poitrines opulentes, ce n’est pas son fort. Il préfère les fesses. Il repose la main sur la cuisse. Jean profite de l’occasion offerte. Ses doigts glissent sous le corsage, à la limite de la dentelle du soutien-gorge, et s’enfoncent avec délice dans la chair tendre.
— Odile ! la gronde André. Un peu de tenue ! Veux-tu laisser tranquilles ces jeunes gens !
— Zut, maugrée Jean, il pouvait pas se taire, celui-là !
La jeune femme rougissante écarte la main indiscrète.
— Je ne vous ai pas fait mal, j’espère ? s’excuse-t-elle. Ces injustices sur le terrain me font perdre mon sang-froid.
— Oh non ! Pas du tout !
Il se demande comment retrouver le contact avec la poitrine de l’hôtesse. Ce ne devrait ...