1. ¡ Viva la libertad !


    Datte: 15/04/2018, Catégories: fh, hh, extracon, grosseins, taille, laid(e)s, hsoumis, hdomine, Masturbation entreseins, facial, uro, sm, attache, gifle, aventure, Auteur: Toma, Source: Revebebe

    ... plus je ne peux même plus récupérer mes gadgets : ils ont été piqués par ces enculés. Je n’ai qu’un flingue, je ne vais tout de même descendre tout ce ’ti monde avec, à moi tout seul, je ne suis pas un surhomme ! Quoique…
    
    Je m’engage une nouvelle fois vers la salle à sacs. Ha, merde ! Ils ont mis un cadenas. Je sors mon couteau multifonction (je retire ce que j’ai dit, parce que c’est très pratique) et j’entreprends de scier la chaîne. Quelle patience il faut pour ouvrir cette porte, dis donc ! Ça me prend un temps ! Heureusement que presque tout le monde doit encore pioncer… Voilà, après de nombreux efforts, j’arrive à déverrouiller cette serrure. Je cherche mon second sac. Cette fois-ci, je le trouve tout de suite. Tiens ! Qu’est-ce que c’est que ça ? On dirait la trousse de premier secours de l’avion, chouette !
    
    Maintenant, il faut que je trouve la sortie de ce labyrinthe. Un garde : à la guerre comme à la guerre, je lui tire une balle dans la jambe ; il s’écroule, je l’assomme et lui pique sa chemise. Eh ! Mais c’est ma jolie petite informaticienne qui est enfermée là ! J’entreprends de la libérer, avec les autres de notre ancien groupe de résistance.
    
    — Sauriez-vous vous servir d’armes à feu ? leur distribué-je des revolvers.
    
    Certains hommes veulent essayer, les autres ont leur permis de port d’arme, mais ma jolie Julie refuse, elle doit être trop sensible.
    
    — Je pense qu’il est plus sage de sortir à l’air libre, et de prévenir des secours… J’ai une idée, ...
    ... sors-je(Tiens ! C’est pratique cette technique, cela permet dire quelque chose en faisant une action en même temps) donc sors-je deux talkies-walkies.
    
    Il y a trois hommes devant la prison. Mais pas ceux que j’avais mis en place, ils ont découvert la supercherie. Là, trois, je suis obligé de les neutraliser. Je réfléchis : est-ce que cela vaut le coup d’écourter ainsi leur vie ? Réponse négative, tant pis pour mon idée. De toute façon garder une communication avec les prisonniers restants ne sert pas à grand chose, à part peut-être sur le point tactique, lorsque les secours seront là.
    
    Nous progressons ainsi : je suis à l’avant avec un de mes « aides », deux autres sont à l’arrière. Nous avons tous les quatre une mitraillette automatique et un gilet pare-balles ; ils doivent couvrir ceux qui n’ont pas de protections ni d’armes – je n’en ai malheureusement pas assez.
    
    — Attention, on vient !
    
    C’est un groupe de cinq, ils ont un mouvement de réaction, mais nous tirons avant. C’est bon, le danger est passé.
    
    Voilà enfin la sortie : c’est une porte blindée. Allez, j’en ai marre de jouer dans la finesse. Je sors un pain de plastique, le colle sur la serrure, y plante un détonateur. Boum ! Il n’y a plus de porte.
    
    — Courez le plus vite possible vous cacher, nous sommes à découvert, du monde va sûrement se pointer…
    
    Ça n’a pas été long : ils nous mitraillent déjà.
    
    — Tout le monde à terre, protégez ceux qui n’ont pas de gilet !
    
    Alors moi, évidemment j’en profite : ...
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