¡ Viva la libertad !
Datte: 15/04/2018,
Catégories:
fh,
hh,
extracon,
grosseins,
taille,
laid(e)s,
hsoumis,
hdomine,
Masturbation
entreseins,
facial,
uro,
sm,
attache,
gifle,
aventure,
Auteur: Toma, Source: Revebebe
Résumé : j’ai été engagé pour la protection d’un riche industriel lors d’un important voyage d’affaire. Comme le pressentait mon client, l’avion que nous prenons est détourné ! Je me retrouve donc enfermé dans un souterrain avec le reste des passagers. Je réussis, avec quelques hommes et une femme, à sortir de notre prison, mais notre escapade ne dure pas longtemps…
Lorsque je me réveille, on dirait que je suis en lendemain de cuite : j’ai l’impression que ma tête va éclater, mes yeux me piquent, je ne vois pas grand chose. J’ai les pieds et poings solidement attachés à une chaise. Je commence à apercevoir des hommes fouiller mon sac. Ils ont trouvé ma carte de service, mon permis de port d’arme et mon flingue.
— Alors c’est toi le meneur de la bande, crache l’un des misérables, c’est toi qui as maîtrisé une dizaine de mes hommes. Je dois aussi reconnaître que c’était bien joué de condamner la réserve aux armes. Mais j’ai été plus rusé que toi : j’ai fait évacuer cette pièce, je t’ai laissé entrer et le tour était joué.
Il ordonne de reconduire mes complices et de bien les surveiller. Ceux-ci étaient dans la même position que moi. Il donne également des instructions à un autre de ces hommes - ou une armoire à glace ? Je ne sais pas, j’ai du mal à faire la différence… - celui-ci déglutit difficilement. Apparemment son gradé vient de lui promettre un avenir bien noir en cas d’échec. Celui-ci s’assoit au coin de la pièce, l’arme au poing, et ne me lâche pas des ...
... yeux.
Le chef s’adresse à nouveau à moi :
— Toi, tu as le choix : soit tu coopères et tu deviens riche, soit tu ne le fais pas et, dans ce cas…
Il finit sa phrase en faisant semblant de se trancher la gorge avec son index. Il émet un petit rire sadique et reprend :
— Je te laisse réfléchir, tu nous donneras ta réponse demain, bonne nuit !
C’est tout réfléchi : je me tire de cette piaule et lui casse la gueule, à ce connard. Ah ! je suis vénère, j’ai fait une de ces bourdes ! Je n’aurais jamais dû me laisser avoir comme ça, je suis vraiment nul. Bon ce n’est pas le moment de m’apitoyer sur ma connerie. Il faut que je reprenne le dessus sur ces enfoirés. Vous allez me dire : comment est-ce que je vais faire, vu que je suis attaché à cette chaise avec un bouledogue à mes chevilles ? J’ai toujours un canif planqué quelque part sur moi. Bon, j’essaye de le trouver, en faisant d’infimes mouvements que j’espère imperceptibles. Putain, où est-ce que je l’ai foutu, ce couteau de merde (normal, il est suisse, comment veux-tu qu’il soit bien ?). Ah ! Voilà, je me souviens où je l’ai mis.
Il faut absolument que je trouve un moyen de distraire mon geôlier car, dans la situation où je me trouve, manier ce couteau est impossible sans être vu.
— On est partis pour passer la nuit ensemble… Bon, je m’avoue vaincu, vous avez gagné. Je vais me faire zigouiller, alors autant que…
—Shut up !
Houla ! Pas commode, le type ! Si je ne peux même pas parler…
— Allez ! Sois sympa ! ...