Séparation
Datte: 10/08/2020,
Catégories:
ff,
magasin,
essayage,
ascenseur,
volupté,
fgode,
Auteur: Erlinde, Source: Revebebe
... sans entrave, une goutte de sueur sillonnant déjà entre eux, vers son pubis. Ou peut être entièrement nue, son clitoris gonflé laissant apparaître sa roseur au travers de la toison brune.
J’intensifie encore l’action du vibreur.
La cloison laisse échapper un grincement. Elodie a-t-elle appuyé sa poitrine contre la paroi, caressant sa peau à la soie du chemisier qu’elle y avait accroché ?
J’accélère un peu les va-et-vient du curseur.
Comme moi tout à l’heure, Elodie laisse échapper un petit cri de plaisir, presque inaudible. Puis un autre. Et un autre. Encore. Et encore.
Les gémissements feutrés d’Elodie suivent maintenant le rythme que j’imprime au vibromasseur. Je l’imagine luttant pour ne pas donner de la voix. Je l’imagine souhaitant une pause, profiter quelques instants du reflux du plaisir.
Je descends tout doucement l’intensité à zéro.
Elodie s’est tue. Je crois cependant l’entendre respirer profondément. Elle savoure le moment.
Tout aussi doucement, je remonte le vibreur à cinq. J’attends. Ni gémissements ni cris.
Comme Elodie tout à l’heure, j’enlève une chaussure en faisant glisser le talon de la pointe de l’autre pied. Rien que le mouvement d’une cuisse contre l’autre, le plaisir monte d’un coup de mon pubis. Je me mords de nouveau la lèvre, réprime un cri.
J’augmente le vibreur d’un cran. Un long gémissement d’Elodie, plus grave que tout à l’heure, me répond. J’enlève lentement l’autre chaussure. Cette fois, ça se passe mieux. Mieux ...
... ?
Je mets un cran supplémentaire. Murmure appréciateur dans la cabine d’à côté. Je dégrafe mon pantalon. Fais glisser la fermeture éclair. Mmmh ! Elle a beau être sur le côté, cette douce pression des doigts qui parcourt ma hanche…
Encore un cran sur la radiocommande. Des lèvres d’Elodie sort un son continu, allant et revenant du grave à l’aigu, certainement audible du couloir. Le sang bat dans mes tempes.
J’imprime quelques lents va-et-vient au curseur. Elodie gémit à l’unisson.
Je remets l’intensité à huit et pose la commande, pour enlever mon pantalon.
Je glisse mes pouces entre la ceinture du pantalon et mes hanches. Ce contact m’électrise.
Mes lèvres s’arrondissent sur un "oh" muet. Ou pas. Qu’importe.
Je fais glisser le pantalon le long de mon bassin, de mes cuisses. Je courbe le torse pour descendre le vêtement jusqu’à mes pieds. Mes seins suivent évidemment le mouvement. Glissent contre mon chemisier. Pas mal non plus, comme sensation.
Je me relève, dégage mes pieds du pantalon. Profite des petites pointes de plaisir procurées par le mouvement de mes cuisses. J’attrape la jupe sur sa patère, la décroche du cintre. Mon chemisier frotte de nouveau contre mon soutien-gorge. Ma poitrine en redemande.
Je lui en donne, me courbant de nouveau pour enfiler la jupe. La douceur de ce tissu qui remonte sur mes jambes. La ceinture de ma jupe compresse au passage mes hanches.
Petit, comme 38. Il faut que j’aille chercher la taille au-dessus.
Elodie. ...