1. Péripatétichien (5)


    Datte: 15/04/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... que sa verge grossissait encore et enfin je sentis son foutre jaillir en moi avec une pression folle, en une bonne dizaine de tirs d’après ce que je pus en juger.
    
    Pendant quelques minutes, le chien resta en moi et je profitai pleinement de cette situation. Sa tige restait énorme mais s’assouplissait à mesure que le knot reprenait sa taille normale et je pouvais bouger davantage en appréciant le volume de sperme dans mon con.
    
    Le garçon se dégagea et, dès que le chien sortit dans un "plop" sonore, le jus dégoulina aussitôt avant que la bite de l’homme ne vienne refermer le trou.
    
    Elle était moins grosse que celle du chien, on le sait déjà, mais la différence n’était pas énorme et, surtout, le gars savait y faire. Il me laboura dans tous les sens à grands coups de claquages sur le cul.
    
    Puis il me poussa plus en avant sur le lit pour prendre appui derrière moi et se mettre en bouledogue.
    
    — T’aimes les chiens salope, prends-toi un bon bouledogue qui va t’élargir le cul !
    
    Et il me força l’anus.
    
    Il y avait un petit moment que je ne m’étais pas prise une sodo et son membre était gros. La douleur fut importante et je lui demandais de mettre un peu de gel.
    
    Pour toute réponse, il se recula relâchant la pression et me balança
    
    — J’ai la queue enduite du foutre de mon clebs. T’aimes bien ce gel-là, hein chienne ! Ça doit te suffire. Prends-toi ça dans le cul ! Là à fond, ouais, tu peux crier et te plaindre espèce de pute! Tu en veux, j’vais t’en donner de la ...
    ... grosse bite moi !
    
    Je criais mais pris patience en me disant que mon cul finirait bien par s’assouplir et de fait, bien qu’il me percutât violemment poussant sa verge tout au fond, je finis vite par y prendre du plaisir.
    
    Ses couilles pendantes volaient sous ses impulsions frénétiques. Je les sentais aller et venir contre mes cuisses et mon sexe. À chaque coup il retirait presque entièrement sa bite et la replantait à fond et très vite. Parfois la bite sortait. Il la ressaisissait et me renfonçait le braquemart, m’arrachant à nouveau un cri.
    
    Quelques fois, il baissait en rythme, se figeant au plus profond de mon corps, couché sur mon dos, m’agrippant les seins, et m’insultant, puis, ayant repris son souffle, il recommençait.
    
    Puis il me mit en missionnaire. Parfois, il s’appuyait sur un seul bras pour glisser l’autre main et me triturer le clitoris. C’était fou... Je prenais un pied extraordinaire. Jamais un mec ne m’avait fait un tel festival. Il était vraiment très performant et je me demandai même s’il ne s’était pas aidé au moyen de quelques gélules. Peu importe. C’était géant. J’étais en nage. J’enchainais les orgasmes. J’étais épuisée.
    
    J’en avais eu assez et je pensai lui avoir suffisamment donné l’occasion de prouver qu’il était un véritable hardeur. Il s’allongea pourtant pour un dernier round. Je vins me planter sur sa verge luisante et, pendant que j’allais et venais sur ce mât de cocagne, il donnait des coups de reins vers le haut. Les mouvements de nos deux ...