Péripatétichien (5)
Datte: 15/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Dès que je suis entrée, j’ai bien vu, à la tronche qu’il a tirée qu’il n’était pas qu’un peu déçu. Il attendait que je sois accompagnée.
Il ne fallait pas lui laisser le temps de réfléchir. J’ai aussitôt enlevé mon soutien-gorge. La vue d’une grosse mamelle provoque en règle générale le même effet sur tous les queutards. On passe la frustration pour la promesse d’un jeu plein de rondeurs.
Je lui ai tenu un baratin comme quoi j’avais trouvé une sacrée baiseuse mais je me suis bien gardée de dire de qui il s’agissait pour ne pas m’entendre opposer un refus du genre : "Oh celle-là, c’est pas la peine, je l’ai déjà niquée".
J’ai mis direct la main au pacson et, quand j’ai senti le reptile se réveiller sous mes doigts, je me suis dit que l’affaire était dans le sac... au moins pour ce soir.
Mais je voyais à plus long terme. L’idée c’était de me rendre indispensable, que ce mec ne puisse plus se passer de moi, soit comme rabatteuse soit comme compagne de son chien. Si je plais au chien, peut-être cela plaidera-t-il en ma faveur auprès du maître.
Pour l’heure ma préoccupation était de me faire à nouveau saillir en essayant de me faire passer pour plus experte en baises zoophiles que j’avais bien voulu le laisser croire.
Donc après l’avoir branlé quelques minutes, le temps qu’il acquière une rigidité qui n’allait pas mollir de sitôt, et après l’avoir provoqué sur ses prétendues performances sexuelles, je me mis à quatre pattes sur le plumard pour qu’il me graisse ...
... la raie avec sa salive.
Le mec ne faisait pas semblant. Il me bouffait le con comme un professionnel. J’avais vraiment l’impression qu’il se régalait en me titillant la friandise, en jouant avec les replis des grandes lèvres en aspirant l’abricot, en enfonçant sa langue dans mes entrailles en y faisant tournoyer avec vigueur.
Et un orgasme clitoridien, un !
J’étais désormais chaude comme une baraque à frites et des frites il n’y en avait que deux dans tout l’appart, mais des belles ! Ou plutôt, devrais-je dire, une belle frite et un voluptueux hot-dog.
Il était temps d’aller chercher le toutou.
À ma grande surprise, il se contenta de me faire fête. Je m’étais imaginé qu’il bande au quart de trou, mais nenni. Sans doute était-il encore un peu jeune et fallait-il que je le stimule pour provoquer une érection. Je pensais que mes sécrétions intimes flatteraient son odorat et qu’il irait droit à ma touffe. Il ne le fit pas.
Il fallait donc l’émoustiller... et pourquoi pas. Ce pouvait être intéressant.
Tout en me bouffant la chatte, Mathis avait passé ses mains longues et puissantes sous mon corps pour me saisir les seins. Il les avait malaxés et m’avait dardé les tétons en les pinçant à tel point qu’ils étaient tout durs et hypersensibles.
Pourquoi ne pas en profiter ?
Je demandai d’abord du sucre pour m’en couvrir les aréoles et me les faire lécher mais je me souvins des quelques lectures que j’avais faites sur internet et qui m’avaient révélé que les ...