Péripatétichien (5)
Datte: 15/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... chiens aiment l’urine.
Il y a beaucoup de mecs qui fantasment avec la pisse mais tous n’aiment pas l’uro. Ce que j’avais vu de Mathis me portait à croire qu’il était une véritable boule de vice et que cela devrait le réjouir. Après tout, un mec qui regarde son chien saillir une fille et qui éjacule devant le spectacle... bon.
— Attends, dis-je, pisse-moi sur les seins !
— Tu veux que je te pisse sur les nichons ?
— Oui, le chien va adorer ça.
— Tu crois que me voir te pisser dessus, ça va le faire bander ? N’importe quoi !
— Mais non. Il va lécher la pisse. Les chiens kiffent ça !
— Cool... viens sous le robinet ma chérie... mais faut que je débande un peu.
— Tu peux pas pisser en bandant ?
— Jamais essayé.
Il fit une première tentative mais sans grand succès et ce demi-échec le fit débander un peu. Quand il fut suffisamment prêt, il m’arrosa copieusement.
Nous nous rinçâmes, mais je pris bien soin de laisser mes seins imprégnés de cette liqueur.
Je mis mes lolos sous la truffe du clebs qui se mit alors à les goûter. Sa langue râpeuse me fit immédiatement de l’effet. C’était super bon mais je n’eus pas le temps de beaucoup en profiter car sa gaule commença à s’allonger.
— Vite, vite... avant que le bulbe gonfle !
Et je me remis en levrette aussi sec... enfin sec... J’étais toute trempée d’excitation.
Apollon comprit immédiatement et me grimpa... J’avais oublié les chaussettes que j’avais pourtant réclamées à son maître. Il me ...
... griffa. Je m’en plaignis quoique le mélange de plaisir et de douleur ne me fut pas désagréable... au contraire.
Sa bite tapa, comme la première fois, entre les deux trous. Il avait à nouveau besoin d’aide. Mathis la lui fournit.
L’énorme trique, dure comme du chêne, mais sans gland, glissa d’un coup jusqu’au fond de la matrice, à m’en faire mal. Je lâchai un cri. Mais rapidement mon attention fut détournée par l’énorme excroissance qui enflait à l’entrée de ma chatte.
Le mec s’agitait autour.
Le chien giclait régulièrement par petites quantités et il poussait de toute sa force en avant. Mon vagin s’était assoupli et la queue ne me faisait plus mal bien qu’elle occupât tout l’espace disponible. C’était dantesque.
Le mec, après avoir enfilé les chaussettes sur les pattes antérieures de mon extraordinaire amant, se faufila sous moi. Je me précipitai sur ce dard magnifique qui mouillait. Une grosse bite dans la bouche, une énorme bite dans le cul...Que pouvais-je espérer de mieux ?
Du reste, pomper, c’est tout ce que je pouvais faire. Le chien était complètement bloqué. Il multipliait les coups de reins et c’était super. Il haletait vivement et je remarquai qu’il faudrait une hygiène buccale appropriée... parce que, être prise comme ça me donnait presque envie de palocher ce molosse... mais il refoulait trop du goulot. Ma position d’ailleurs m’interdisait de le faire... pour le moment.
Le chien, au bout d’une vingtaine de minutes, se mit à accélérer. Il me sembla ...