Jennifer 2.0
Datte: 09/08/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... et Jennifer s’est collée à ma queue comme une sangsue. Mon Dieu ce qu’elle suce bien ! Tandis que sa main droite malaxe mes bourses, sa langue virevolte sur mon gland comme cela ne m’est sans doute jamais arrivé.
Et quand elle essaie de m’emboucher complètement, je sens distinctement le bout de mon sexe buter sur sa luette ; elle force un peu, et au bout de quelques haut-le-cœur tout à fait crédibles, elle finit par m’avaler tout à fait.
Combien de temps reste-t-elle ainsi, mon dard enfoncé tout au fond de sa gorge ? Je ne saurais dire, mais lorsqu’elle se décide enfin à me rendre ma liberté, c’est pour l’entendre s’étrangler de nouveau, à bout de souffle. Pour une nana qui n’en est pas une, j’avoue que c’est tout de même sacrément bien imité… Tout comme le regard gourmand qu’elle me lance alors qu’elle me branle furieusement.
Et tout cela dure, dure et dure encore, mais il est vrai que je n’ai plus vingt ans et que cela doit faire des années qu’une fille ne m’a pas vidé les couilles deux fois de suite en aussi peu de temps. Alors, comme pour faire bonne mesure, elle me reprend dans sa bouche, et cette fois elle m’aspire avec une telle fougue que j’en suis à deux doigts de la supplier d’arrêter.
Pour mon propre bonheur, je n’en fais rien et lorsqu’elle parvient enfin à ses fins, elle se fait un malin plaisir de se reculer de quelques centimètres pour que je voie mon foutre gicler à longs jets tout au fond de sa gorge. Une fois l’orage terminé, elle reste ...
... quelques secondes ainsi, la bouche entrouverte pour que je ne perde rien de la langue couverte de ma semence puis, sans cesser de me regarder dans les yeux, avale tout comme s’il s’agissait d’un divin nectar. Lorsqu’elle se relève devant moi, c’est pour mieux me faire remarquer que sa bouche est vide.
— Tu… Tu… Tu… Tu avales, comme une vraie femme ?
— Bien sûr, rigole-t-elle. À l’occasion, je mange et je bois, aussi, même s’il ne vaut mieux pas que je te dise ce que je fais lorsque je vais aux toilettes. Bon, je crois que nous en étions restés à une histoire de problème.
— Tout à fait…
Elle me détaille alors toute l’histoire. Vincent, mon frangin, était à tout jamais inconsolable de la perte de Jennifer, la femme qu’il aimait passionnément mais qui l’avait tout de même quitté. Malgré quelques aventures passagères, il n’a jamais réussi à l’oublier ; mais comme il était – et est toujours, vraisemblablement – un petit génie dans tout ce qui concerne la « programmation comportementale appliquée à la robotique », il a décidé de se fabriquer un clone de celle qui avait fait tellement battre son cœur. Pendant des années, il a peaufiné encore et encore ses prototypes, tant en ce qui concerne l’apparence – de loin, la partie la plus simple de son projet – mais aussi sur ce qui ressemble fort à de l’intelligence artificielle même si, d’après ce qu’en Jennifer en dit elle-même, celle-ci est véritablement rudimentaire.
Une fois son projet quasiment au point, il a alors pensé à ces ...