1. L'épreuve


    Datte: 09/08/2020, Catégories: hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, revede, nopéné, donjon, attache, bougie, aventure, fantastiqu, Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe

    Fyrag est un garçon de ferme sans histoire, à part quelques rêves étranges. Un jour il est abordé par une jeune femme, Thyris, qui cherche à fuir ses ravisseurs, des prêtres d’Hedion, le Dieu Père. Comme ils n’en veulent qu’à sa virginité, elle persuade le garçon de l’en débarrasser. Les poursuivants de la jeune vestale les retrouvent, et heureusement tombent en adoration devant les fesses de Fyrag, permettant aux deux jeunes gens de s’enfuir. Après avoir brouillé leur piste grâce à la magie, Thyris découvre que le garçon est marqué du sceau d’Hédion. Afin d’en savoir plus, elle entraîne son compagnon à Natrant, ville contrôlée par les prêtresses et abritant les plus grandes bibliothèques. Alors que Thyris compulse des textes sacrés, Fyrag est brusquement frappé par derrière.
    
    Si vous ne vous souvenez pas d’avoir lu ça, alors, allez voir les épisodes précédents, ce sera quand même plus clair !
    
    oooOOOooo
    
    Dyanar la belle pleura trente jours et trente nuits elle pleura. Alquise lui parla des plus grands prodiges sans l’éloigner de son chagrin. Mysalis lui fit les plus grandes promesses sans l’éloigner de son chagrin, Atilbis lui décrit les plus beaux paysages sans l’éloigner de son chagrin. Alors Mysalis fit venir ses servantes, et elle leur ordonna de prendre soin de la déesse. Les servantes baignèrent Dyanar, oignirent sa peau des plus doux parfums et lui offrirent les plus beaux spectacles. Alors, les pleurs de Dyanar cessèrent, et elle sourit.
    
    Lorsque Fyrag ...
    ... revint à lui, il pensa d’abord être si faible que ses membres ne lui obéissaient plus. Il s’habitua néanmoins peu à peu à l’obscurité de la pièce, et put constater qu’il n’en était rien. Il était sévèrement entravé sur ce qui lui sembla une table. En faisant jouer patiemment ses muscles, il constata que son cou, ses poignets, ses coudes, sa taille, ses genoux et ses chevilles étaient maintenus par des attaches de métal qui le plaquaient contre le bois. En forçant un peu, il pouvait voir, dans un coin de la pièce, luire faiblement un brasero. Le plafond de la salle était voûté, et une chiche lumière émanait d’un point se trouvant derrière lui. Des objets indistincts étaient accrochés aux murs et au plafond, ou posés sur des étagères sombres. Il entendait, au loin, un brouhaha léger qui rappelait l’atmosphère d’un début de banquet.
    
    La position devenait franchement inconfortable, et le temps lui semblait long quand la pièce s’éclaira brusquement, lui faisant cligner les yeux.
    
    Quand il put à nouveau regarder, ce qu’il vit lui glaça le sang. Au-dessus de lui, une chaîne imposante était pendue à un crochet. Vers la gauche, il pouvait apercevoir une croix de Saint André, à côté de laquelle un râtelier portait ce qu’il identifia comme une série de badines. Vers la droite une quinzaine de crochets étaient appuyés sur un pilori. Il sentait qu’on s’agitait autour de lui, et cette agitation l’inquiétait autant que le décor sinistre. Soudain, on lui parla.
    
    — Que faisais-tu dans la ...
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