LE CASTOR 4.
Datte: 08/08/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
Le discours d'Émile est autoritaire, mais clair. C’est un marché, il commande, Colette se soumet ou il la prive de sa jeunesse d'amant, du plaisir auquel elle a pris goût et de la réalisation de son rêve de vie nouvelle. Le changement fait rêver les foules et pour Colette le changement, c’est maintenant. Elle a dû en rêver : notre train de vie, les voyages, les sorties, les vacances avec moi sont devenus des événements d’une banalité affligeante. Le saut dans l’inconnu avec un jeune amant, c’est nouveau, c’est excitant. Tout sera nouveau, elle se droguera au sperme jeune, vivra un printemps éternel, connaîtra une deuxième jeunesse.
Si elle ne se soumet pas à ce jeune amoureux, adieu le renouveau, les folles nuits d’amour. Elle ne peut plus se passer de ce qu’il a su rendre indispensable, elle veut VIVRE, vivre jeune. Elle choisit, elle se soumet elle se met à quatre pattes sur le matelas, avance vers la verge raide de l’homme debout au bord du lit. Sa main gauche saisit le membre érigé, le tient et la bouche ronde l’aborde pour un baiser sur le gland décalotté par le glissement de la main. Elle lève les yeux vers la face de son nouveau jeune maître, guette la réaction à son coup de langue, sourit de contentement. Émile se concentre sur l’événement, dit :
- Va, suce, tiens-moi au chaud.
La bouche ouverte progresse sur le cylindre, s’arrête. Les yeux de Colette rivés sur le visage fermé expriment l’adoration, elle sait le bien qu’elle prodigue, elle remercie du don ...
... reçu.
- Va, suce, à fond, plus loin.
Colette entame l’enfournement complet, par paliers de plus en plus profonds. Elle y met tout son cœur, suce dévotement, lèche avec amour, les yeux débordants de reconnaissance.
- Maintenant, fais demi-tour.Je veux voir ton cul. Hop !
Subjuguée, comme hypnotisée, elle exécute le mouvement aussitôt, présente ses fesses à hauteur du chibre durci par sa bouche et attend l’ordre suivant.
- Par pure bonté, je te laisse de nouveau le choix : je te baise en con ou je t’encule ?
- Comme tu voudras mon amour. Je t’appartiens. Fais de moi ta chose.
La réponse n’est pas terminée, le pieu est parti, a disparu. Colette hurle de douleur. Le ventre d’Émile est collé aux rondeurs des fesses. Le retrait cause une plainte pitoyable.
- Quelle poule mouillée. J’ai compris, donne-moi ton cul, ça ira mieux.
Il monte sur le lit, un pied de chaque côté de la croupe, il plie ses genoux, vient poser sa tringle menaçante à la verticale au-dessus du trou sombre, touche les rides de l’anus, descend encore, fore un passage dans la voie étroite. Colette n’a jamais aimé l’introduction rectale. À mon grand étonnement, je ne l’entends pas protester, et je vois le rouleau disparaître progressivement dans les intestins. Succèdent alors les traditionnels mouvements de haut en bas et de bas en haut, au gré du cavalier attentif aux réactions de sa monture.
La pauvre Colette piaffe, elle n’a pas fini d’avaler des couleuvres et de subir d’incessantes ...