1. Les confidences de Caro


    Datte: 08/08/2020, Catégories: f, fh, froid, parking, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Auteur: Evelyne63, Source: Revebebe

    ... fous de leur château en Dordogne. J’étais à deux doigts d’ajouter, m’en fous de Marco, mais ce n’est pas vrai, je l’aime… Il me déplairait que Bernard lui rapporte n’importe quoi, mais connaissant ce dernier je doute qu’il joue les mouchards. Sera-t-il aussi discret avec ses copains ? Et les autres ? J’avoue qu’avant Marco, je ne me serais pas posé tant de questions, j’aurais goûté le piment de la situation.
    
    Pour dire la vérité, mon ressenti n’est pas très différent par rapport à ce qu’il aurait été avant Marco, le fait que Bernard ait vu mon cul, ne me laisse pas insensible. Je goûte après coup le sel de mon exhibition quand bien même celle-ci aurait été inconsciente, autant qu’involontaire. Je reconstitue mentalement, imagine la convoitise de l’homme, ses yeux de merlans frits. Pourquoi donc ai-je été privée de ce plaisir ? À tant l’évoquer, je parviens à lui redonner vie et tout son chien, l’exercice n’est pas sans chaleur. J’en oublie la fatigue et le manque de sommeil.
    
    Des images salaces me traversent l’esprit. Je prends des poses devant le miroir des vestiaires. Ma jupe est courte, mais décente, même avec un bouton libre. Il n’en va plus de même quand je libère un deuxième bouton. Dans ce cas, j’entrevois mon pubis glabre. Je m’épile en effet. Par bravade, je laisse en l’état, une audace toute relative : qui la verra sous ma blouse ? Personne, mais moi je la sais, et cela fait une grosse différence, l’idée de ma coquinerie m’accompagne, nul besoin d’EPO, me savoir ...
    ... vulnérable me donne une pêche d’enfer.
    
    En dépit de mon exubérance coquine, il n’y a pas de risque que j’abuse sexuellement mes clients, je ne vois que des mémés et des pépés qui n’en peuvent plus. En cours de matinée cependant, il me vient l’envie d’asticoter Pierre, mon inconnu adoré. Je me connecte, et lui concocte un mail, je raconte tout et même un peu plus, photos à l’appui, prises sur le vif. Il m’a suffi d’ouvrir la blouse, et de libérer un bouton de plus sur le devant de ma jupe, clic, le selfie est dans le smartphone, un autre pour faire bon compte, puis je les mets en pièces jointes. S’il ne bande pas avec ça, je me fais nonne. Il vit l’aventure en live avec moi ; je mouille rien qu’à imaginer sa réaction, un bon gros mandrin, qu’il va aller astiquer dans les toilettes les plus proches. Moi-même, j’y suis, assise sur la cuvette, en bonne place pour sécher les excès d’humidité que me procure mon enthousiasme. Ceci fait, je profite de ma pause impromptue pour vérifier les oracles. Ils me promettent une excellente journée et une rencontre percutante avec un bélier.
    
    De retour au parking, au siège de l’association, je remarque immédiatement la voiture d’un modèle inhabituel en ce lieu. Je ne suis pas familière des véhicules automobiles, ce n’est pas un sujet qui me passionne, je fais tout au plus la différence entre une Renault Twingo (c’est ma voiture), une Fiat Panda (c’est la voiture du service, que j’utilise pour le boulot) et un gros Touareg Volkswagen (c’est ...
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