Les confidences de Caro
Datte: 08/08/2020,
Catégories:
f,
fh,
froid,
parking,
voiture,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Auteur: Evelyne63, Source: Revebebe
... dans l’incapacité de rejoindre sans me montrer, l’endroit où est suspendue ma doudoune. J’ai froid, je suis nue… Ceux qui rédigent les horoscopes n’ont jamais été confrontés à ce genre de situation, qu’il vienne donc affronter l’adversité ! Il est plus de 4 h du mat quand je peux enfin regagner mon appart. Je suis épuisée, mais pas encore assez cependant, il me faut conclure comme il se doit, dans l’abri de mon lit.
______________________
Six heures trente, je sors des vapes. Je tâtonne pour bloquer la sonnerie du réveil dont la stridence m’explose la tête. J’ai dormi une grosse heure, pas plus. J’ai la tête dans le cul, c’est le cas de le dire. Des relents de luxure émanent de mon corps nu, la fièvre licencieuse n’est pas tout à fait tombée. Mon sexe est sensible, je le caresse un instant, puis m’interromps avant que le désir ne s’embrase à nouveau et ne me submerge, le sexe appelle le sexe ; j’ai déjà constaté que plus je baise, plus j’ai envie. Pas la peine d’attiser, donc, j’ai d’autres priorités, et le temps manque. Je file à la douche. J’ai fait un rapide détour pour brancher le café, et vérifier l’heure ; je suis déjà à la bourre.
La veille, j’ai préparé ma tenue du jour, un ensemble, jupe en jean, et veste de même tissu sur un pull ras-du-cou. La jupe est fermée devant par quatre gros boutons fantaisies, identiques à ceux de la veste Je ne boutonne que les trois premiers, le dernier reste libre. Je fête le printemps. C’est la première fois de l’année que je ...
... vais jambes nues. La veille encore j’avais un collant, bien trop épais du reste, la température avoisinait les 24°C au plus fort de la journée. Selon toutes probabilités, celle qui s’annonce promet d’être aussi chaude, sinon plus chaude. Le soleil brille déjà.
— On va pas s’en plaindre, me répond Bernard quand je lui en fais la remarque.
Il n’est pas rare que je le retrouve. Nous partons au taf, à peu près à la même heure. Nous nous faisons la bise et échangeons des banalités. Mon souci antérieur quant à savoir s’il m’a vue jouer les naturistes sur mon balcon, n’est plus d’actualité, de l’eau a coulé sous les ponts, je suis à la bourre, il me faut faire fissa. Étrangement, lui n’est pas pressé ; je me suis déjà glissée sous mon volant, et j’aurais déjà claqué ma portière, mais il la retient…
En cours de route je repense à l’attitude bizarre de Bernard. De fil en aiguille un soupçon naît, s’incruste, je vérifie : je n’ai pas de culotte. Comment ai-je pu oublier ? Pourquoi ne m’en suis-je pas rendu compte ? Ma meilleure amie me conterait pareille blague, je lui rirais au nez. Incroyable, impossible… Toujours est-il que je suis cul nu sous ma jupe, Bernard a dû en prendre plein les mirettes.
La goutte qui fait déborder le vase, trop, c’est trop ! Je devrais être abattue, au lieu de cela je deviens folle et éclate de rire, je m’esclaffe à m’en tenir le ventre. M’en fous de ma réputation, m’en fous de tous les coincés, m’en fous du beau-père et de la belle-mère, m’en ...