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    Datte: 07/08/2020, Catégories: hh, hplusag, hagé, inconnu, amour, intermast, hdanus, hsodo, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... bien gros, rouge, proéminent. Un champignon. Un gros champignon de chair. Gonflé. Brillant de salive et gorgé de sang.
    
    Je me suis courbé et tout en le suçant j’ai rapproché mon cul de sa main gauche.
    
    Il pose sa main sur mon cul. Je me cambre pour lui signifier que j’ai envie de le sentir en moi. Et puis j’aimerais bien qu’il me caresse, qu’il me flatte le derrière. Il me malaxe le cul et lentement glisse ses doigts vers mon anus. Un frisson me parcourt.
    
    — Attends, je. Je peux utiliser la salle de bain ?
    — Oui, vas-y, bien sûr.
    
    Je reviens, rassuré par un petit lavement rapide réalisé à l’aide du tuyau de la douche. Lui s’est allongé sur le lit. Nos caresses reprennent. Je l’embrasse. Nous nous léchons les tétons mutuellement. Je guide sa main vers mes fesses. Un doigt, deux doigts. Je me cambre, offre mon orifice à ses phalanges avides de jouer. Lentement il tourne en moi. Je bascule sur le côté. Je suis prêt pour l’amour.
    
    — Viens. Tu as des capotes ?
    — Oui.
    
    Il glisse vers le meuble de chevet. Je ferme les yeux. Il décolle son sexe de l’entrée de mes fesses. J’entends le petit déchirement de l’emballage du préservatif et son membre revient, ganté. Et il est là. Tout de suite son lourd gland trouve l’entrée de mon orifice déjà graissé par le désir et je cède. Lentement il s’enfonce en moi. Je relève doucement une jambe et le passage facilité, sa hampe s’enfonce en moi. Il souffle fort dans mon coup. Je gémis.
    
    — Viens. Comme ça. Doucement.
    
    Le ...
    ... préservatif est de bonne qualité. Je sens bien le sommet rond et tassé de son gros gland, puis la rainure, le rebord bien dessiné du casque, le prépuce retroussé. Voilà. La tige plate s’enfonce dans ma chair. Viens, mon amant. Fraye-toi un passage.
    
    Sa queue courte et épaisse me remplit largement.
    
    Enfin, pris jusqu’à la garde je sens contre moi la bordure de ses couilles. Il reste un peu ainsi, en butée, puis entame un bon limage de mon puits de chair. Une chaleur vive emplit ma tête. Ça y est. Je suis offert. Je suis à lui. Tous les petits anneaux de mon intérieur, de mon anatomie, résistent un peu moins à chaque passage et au bout de quelques minutes il me lime pour de bon. En cuillère je sens son ventre. Je suis échoué contre lui. Par un mouvement du bassin je me glisse alors sur les abdominaux. Je veux qu’il vienne en moi par-derrière. Je veux qu’il vienne en levrette.
    
    Sur le ventre, ma queue frotte contre les draps au rythme de ses appuis de reins, de ses doux coups de boutoir en moi. Elle est rouge, écrasée sous mon nombril. Mais que c’est bon ! Putain !
    
    Derrière il accélère. Je sens mon amant se crisper.
    
    Alors, je me relève, panthère cambrée et offre mon cul, entier, offert, ouvert à sa dégustation. J’imagine que mon corps blanc doit alors ressembler à une poire délicatement fendue.
    
    Il a empoigné mes hanches et me baise activement.
    
    Quand sa main vient soudain saisir ma bite molle, je lui intime mon seul ordre :
    
    — Branle-moi ! Branle ma petite bite ! Han ! ...
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