1. Une annonce peut en cacher une autre


    Datte: 07/08/2020, Catégories: hh, hplusag, hagé, inconnu, amour, intermast, hdanus, hsodo, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... soutiennent plus et pourtant je tiens.
    
    — C’est bon ! Han ! Vous… Humf !
    
    Il applique rapidement ses trois doigts, son va-et-vient accéléré. Sa main gauche a saisi mes couilles gonflées. Mon Dieu que c’est bon. Basculé en arrière. Comme ça. Donner sa semence à un homme mûr. Dans ce décor.
    
    Le sexe gonflé, mais peu raide, encore un peu mou, je coule enfin entre ses doigts agiles dans de grosses giclées grasses. Il m’a eu. Je me penche en avant. Je m’appuie sur le lit dévoilant mon fessier comme une odalisque hermaphrodite et aux aguets il se penche à son tour et achève de me traire. Dans l’orgasme j’ai un peu honte et je ris intérieurement : en effet je salis de mon foutre épais, de mes lourdes giclées chaudes, un si beau dessus-de-lit !
    
    Lui semble complètement s’en moquer. Il me flatte comme un petit animal, un enfant qu’il veut calmer :
    
    — La, voilà. Là, coule mon chéri. C’est bon hein. Voilà. Viens dans mes mains, mon petit cœur.
    
    Qu’il est doux de se donner à un homme mûr. Son sexe collé contre mon fessier est maintenant lourd et dur. Mais il se dégage, part chercher du sopalin et la bouteille de Chablis. Il respecte à merveille cette petite pause, post-orgasme. Je bois une gorgée, mais je n’ai pas envie d’en rester là… Lui enlevant son verre des mains je l’embrasse, fougueusement. Nos langues se cherchent, roulent. Nos mains se parcourent et sa langue épaisse, fouille ma petite bouche. Il a fermé les yeux. Je l’assois sur le lit. J’entreprends de libérer ...
    ... son sexe à son tour. D’un geste relevé du bassin, il m’aide. Nous sommes là tous les deux en chemises, culs nus. Mon pantalon et mon caleçon sont restés au sol. Le pantalon de flanelle et le slip de coton blanc descendent rapidement à ses chevilles. Sous son ventre plein, au creux de son pubis, entre ses larges cuisses légèrement velues les pans de sa chemise dévoilent un pénis en demi-érection. Il est légèrement aplati et me rappelle machinalement une queue de castor. Son gland rouge est large, seulement recouvert d’un petit tiers par son prépuce.
    
    J’enlève ma chemise. Je m’agenouille à ses pieds. Je contemple maintenant son corps. Je le déshabille complètement. Il est beau. J’aime son regard empli de chaleur, de tendresse. Je m’agenouille de nouveau à ses pieds et plonge ma tête entre ses cuisses. Son sexe est encore mou. Alors, par défi, je l’engame complètement. Bientôt ses couilles disparaissent également dans ma bouche. Je l’abrite en moi, en une grosse bouchée. Dans ma bouche ma langue cherche son sexe, caresse son gland. Je le sens grossir et quand il ne tient plus en moi je le rejette puis le lape, le lèche de haut en bas, suce son gland, le lape à nouveau, puis l’avale, l’engame, dur, entièrement, jusqu’à forcer ma gorge et faire remonter un suc acide que je ravale aussitôt.
    
    Je prends un plaisir infini à sucer ce sexe maintenant dur et fier. Je joue. Je lèche. Son sexe doit faire dans les quinze, seize centimètres. Son pénis est épais et son gland est maintenant ...
«1...3456»