Marivaudage et jupe plissée
Datte: 07/08/2020,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
inconnu,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
hotel,
voyage,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
portrait,
occasion,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... ancienne génération, que le jeune ingénieur qui m’avait remplacé ne connaissait pas du tout. Tous frais payés, avec un ordinateur portable en cadeau, je ne pouvais décemment pas refuser. On m’avait retenu une chambre dans une pension de famille paumée, dans la France profonde, à proximité d’une station thermale réputée pour soigner les rhumatismes.
La réparation ne posa pas de problème majeur. Je me retrouvais donc le soir, dans la salle de restaurant, à côté des touristes de passage et au milieu de couples de petits vieux, bien propres sur eux et fort sympathiques. On m’avait déjà retenu pour le tournoi de belote, après le repas. J’eus la chance d’éviter le veau aux olives réservé aux pensionnaires. Je finissais mon pavé de Charolais saignant quand des cris affolés perturbèrent mon extase. Un octogénaire, rouge cramoisi, était en train de s’étouffer à table. La patronne de l’hôtel, paniquée, lança un tonitruant :
— Est ce qu’il y a un médecin dans la salle ?
J’avais passé récemment un diplôme de secouriste de la protection civile, au cas où il arriverait quelque chose à mes petits enfants, dont j’allais avoir la garde après la classe. Je préférais cependant laisser la place à un professionnel. Tout le monde se dévisagea dans le restaurant mais, personne ne bougea. Le mec allait y passer, à coup sûr. Alors je suis intervenu. Je l’ai soulevé, je lui ai incliné le buste et j’ai frappé trois fois, du plat de la main entre ses omoplates. Catastrophe, ça ne marchait ...
... pas. J’ai alors pris l’initiative d’utiliser la méthode Heimlich, le poing sur le nombril, en remontant fermement au thorax. À mon grand soulagement, papy cracha son noyau d’olive immédiatement. C’était la première fois qu’on m’applaudissait ! Les dames pleuraient, les hommes me congratulaient.
Du coup, j’eus droit à une promotion, c’est la patronne qui prit la place du jeune stagiaire pour me servir à table. La propriétaire devait avoir un problème d’hormones car, à quarante ans, elle faisait bien le quintal pour un mètre soixante. Je venais de terminer mon dessert quand elle vint, tout sourire, s’appuyer au rebord de ma table, à mes côtés. La friponne obèse baissa suffisamment son buste pour que son décolleté dévoile les dentelles rouges qui emprisonnaient une poitrine curieusement menue, par rapport au reste de sa personne. Dans cette position, j’avais aussi un aperçu de la partie supérieure d’un string ficelle, rouge aussi, qui débordait de son jean brodé. Je ne savais pas que les strings dépassaient la taille cinquante !
— Est-ce que le docteur serait content que je lui rende une petite visite dans sa chambre, vers onze heures, histoire de faire plus ample connaissance ?
Elle ne manquait pas d’air la bougresse, je faillis éclater de rire et lui rétorquer que je n’avais pas le permis poids lourd mais, maman m’avait bien élevé…
— Je suis flatté mais votre mari est un homme vraiment charmant et je ne voudrais pas du tout lui faire du tort.
— Mais mon mari sera là ...