1. Marivaudage et jupe plissée


    Datte: 07/08/2020, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, hotel, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, portrait, occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... léopard, à un franc six sous dans un supermarché, cachait son intimité. Sa main droite écarta l’élastique latéral. La jeune mère était complètement rasée et un tatouage de scorpion surplombait son entrejambe béant.
    
    — Les messieurs d’un certain âge sont toujours généreux avec moi ; tu viens chez moi, papy ?
    
    Je ne l’ai pas accompagnée. Me qualifier de papy alors que je n’avais aucun poil blanc dans les cheveux et, seulement quelques-uns, isolés, dans ma somptueuse moustache !
    
    J’avais complètement oublié ma fumeuse hypothèse qui semblait établir un lien entre le port d’une jupe plissée et l’absence de petite culotte. Des événements en décidèrent autrement.
    
    Ma vieille mère insista lourdement pour que je serve de taxi à son aide ménagère, qui devait faire un examen médical au CHR. J’étais libre de toute occupation et cette dame était d’un dévouement exemplaire pour ma maman.
    
    J’arrivai donc chez Ginette un peu en avance, au cas où…
    
    Fort heureusement car la brave femme venait de laisser échapper une boucle d’oreille dans le lavabo de la salle de bains et essayait de la récupérer avec un fil de fer. Elle était maquillée et coiffée mais portait encore une robe de chambre en pilou, pas de première jeunesse. Le temps qu’elle me prépare un café, j’avais démonté le siphon et récupéré le bijou.
    
    Dans la salle de bains, ses vêtements étaient préparés sur une chaise : des bas couleur chair ; un ensemble soutien-gorge-culotte vert amande, décoré d’horribles fleurs jaunes ...
    ... ; le chemisier recouvrait le dossier et, accroché à un cintre à pinces, une jupe plissée, gris foncé. Adieu mon mémoire sur les jupes plissées qui aurait dû interpeller les sociologues et les anthropologues contemporains ! J’étais vraiment niais d’avoir échafaudé un tel délire : Ginette porterait un slip sous sa jupe.
    
    J’en rigolais encore quand la copine de ma mère me rejoignit dans la salle d’attente. Elle était euphorique vu que la tumeur présumée s’avéra être un troisième rein atrophié qu’elle portait depuis la naissance. J’étais aussi ravi qu’elle, pour ma maman qui l’adulait, pour son mari super sympa et pour ses enfants.
    
    Dans le long couloir menant à la sortie elle me demanda une seconde, le temps de se débarrasser dans les toilettes d’une petite culotte qui l’insupportait. Elle attendit l’intimité de la voiture pour m’expliquer que les slips synthétiques l’irritaient et qu’elle trouvait ceux en coton trop hermétique pour une hygiène saine. Bref, Ginette ne portait une culotte qu’exceptionnellement, chez le docteur ou à la messe mais, le reste du temps, elle s’en passait volontiers. Bien sûr, son mari était au courant et en profitait même quelquefois pour remplir ses devoirs conjugaux dans des endroits et à des moments disons… inhabituels !
    
    Mes données scientifiques étaient encore nettement insuffisantes pour élaborer l’ombre d’une étude rigoureuse mais je gardais un optimisme en béton armé.
    
    Ma boîte me rappela en catastrophe pour dépanner une machine, d’une ...
«1...345...9»