1. Marivaudage et jupe plissée


    Datte: 07/08/2020, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, hotel, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, portrait, occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    Je venais de négocier mon faux licenciement économique, ou plus exactement, une préretraite dorée, à cinquante-quatre ans, avec une confortable prime de départ. Mon épouse avait emménagé chez une copine divorcée, en ville. J’étais libre de tous mes agissements et déchargé de la gestion de notre couple déliquescent - doux euphémisme !
    
    Ce jour-là, comme tous les jeudis matin, je me rendais à un discount teuton pour faire le plein de Bourgogne au très bon rapport qualité-prix et de quelques babioles domestiques ou de bricolage. Le soleil était de la partie en ce milieu du mois d’Août, dans une région où la carte météo ne fait apparaître que des nuages et de la pluie, juste avant la frontière avec la Belgique. Sur la route de campagne, je suivais une Mercedes plus toute jeune, dont le pot d’échappement ne tenait plus qu’à un support, jusqu’à ce que la marmite s’affale sur le macadam. Un jet d’étincelles accompagna la chute suivie du bruit de la ferraille heurtant l’asphalte. Une compagnie de perdrix s’envola, outrée de cette pollution aussi sonore qu’incongrue.
    
    Après mes appels de phares, la Mercedes s’immobilisa sur une aire déserte de stockage de betteraves sucrières. Une dame d’un certain âge, affolée, sortit du véhicule. Très bronzée, avec un léger accent italien, les avant-bras encerclés de multiples bracelets, la mamie se lamentait en constatant les dégâts. Elle portait une longue jupe plissée blanche. Son débardeur, rouge écarlate, donnait un peu de jeunesse à sa ...
    ... tenue classique et démodée.
    
    Le contenu de la caisse à outils, que je n’avais pas encore débarrassée de mon coffre, me permit de rattacher, avec du fil de fer, la première fixation de l’échappement. Je dus étaler une vieille couverture au sol pour m’allonger et atteindre le second point d’ancrage de l’échappement. La dame, gênée de me causer tant de tracas, m’éclairait sous la Mercedes. Accroupie, sans avoir la moindre notion de sa position involontairement indécente, elle cherchait à se rendre utile, en m’avançant la pince et le fil de fer. Toujours allongé au sol, la tête à hauteur de la brave dame, il eut été peu élégant de ma part de l’avertir qu’entre l’arrière de sa jupe traînant au sol et l’avant de sa jupe posé sur ses cuisses frêles mais béantes, j’avais une vision imprenable de son intimité. Je crus d’abord qu’elle portait une petite culotte blanche, mais la surface claire correspondait à la trace d’un maillot de bain. Son minou, aux crêtes sombres, semblait parader entre ses jambes entrouvertes, peut-être ravi d’avoir enfin un spectateur. À peine cachée par une toison grise et clairsemée qui vagabondait sur le renflement du pubis, la fente charnue arborait sa parure vieux rose.
    
    Alors que je me rangeais devant le magasin allemand, j’étais encore en train de résoudre cette énigme angoissante : mais, pourquoi donc cette dame ne portait-elle pas de culotte sous sa jupe plissée ?
    
    Dans le magasin, la grande Brigitte, mon ancienne voisine de palier avant l’achat de ...
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