La petite Fabienne
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byberto41, Source: Literotica
... position » pour se placer en protecteur devant Lucienne, la bite fièrement dressée et encore toute engluée de la noble semence qu'il venait de lâcher dans la bouche de sa roturière mie. Réalisant à son tour le ridicule de la situation, il remonta prestement son pantalon. Toute fois le hurlement calculé poussé par Pierre avait rapidement attiré, belle-mère et beau-père qui à défaut de pouvoir contempler de visu la quéquette titrée, ouvraient des yeux stupéfaits dont Pierre n'aurait su dire si c'était l'importance de la bosse du pantalon de Monsieur, ou le fait que la langue de leur fille chérie continue à lécher la traces de la noble semence qui dégoulinait de part et d'autre de la commissure des lèvres de leur fifille chérie.
Serrant dignement les poings Pierre mima tout à la fois, la fureur, l'incompréhension et le désespoir. Il réussit même à pleurer, dignement au départ, puis avec des sanglots qui se voulaient contenus. Ses beaux-parents le poussèrent hors de la chambre « maudite » sortant avec lui. Ils l'entraînèrent dans le salon, non pour consoler leur gendre infortuné, mais pour tenter de recoller les morceaux...
Ah, il fut grandiose le mari outragé. Poli aussi, car il mourrait d'envie d'agonir sa belle-mère d'injures et de sarcasmes, de traiter sa fille de traînée, de putain, voire de salope. Non Il se contenta, dès qu'il eut jugé q'il était temps de cesser ses pleurs, d'expliquer que malgré tout l'amour qu'il avait toujours éprouvé pour la Lucienne, il ne ...
... pourrait jamais pardonner et encore moins poser ses lèvres sur une bouche qui avait Dieu sait combien de fois sucer le... du comte, et qui sait de combien d'autres encore.
Comme madame jurait que ce n'était pas possible, qu'une mise au point avec Lucienne prouverait qu'il s'agissait en la circonstance d'une faute certes, qui devait s'expliquer en la circonstance, par la chute de cheval... Alors Pierre qui n'avait cessé d'être attentif à ce qui se passait et qui avait bien remarqué que personne d'autre qu'eux trois avaient franchi le seuil de la porte de la chambre, se rua suivi des infortunés parents dans le couloir et ouvrit la porte « bénite »a volée. Le spectacle ainsi offert à belle-maman et beau-papa, comme Pierre l'escomptait, était loin d'être celui d'une repentante tout à sa désolation, Lucienne nullement encombrée par son plâtre se faisait littéralement saillir par un cavalier intrépide, enfin pour être moins lyrique, nous devrions dire, qu'elle se trouvait dans la posture de la jument et le comte dans celle du fier étalon. Comme tout à leur besogne ils ne s'était à l'évidence pas rendu compte de l'irruption, les parents eurent droit en prime à l'expression oratoire, en version non expurgée que procurait leur transport amoureux aux deux protagonistes.
Belle-maman referma la porte. Bien que pour ce qui était de la mauvaise foi, son maquignon de beau-père n'aurait pu s'en faire remontrer par personne, il n'essaya même plus d'argumenter avec son gendre bafoué. Pas ...