La petite Fabienne
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byberto41, Source: Literotica
... lui dit de prendre son « cierge » dans la main lui précisant que ce cierge là donnait neuf mois plus tard des petits « Capucins ». Marie-Cécile subit l'assaut du rustre sans broncher, couchée sur sa robe de nonne. Pour mieux assurer, la saillie qu'il était conscient d'effectuer, le mécréant « remit le couvert » et tringla une seconde fois la nonne. Et pour être sûr que ses œuvres porteraient leur fruit, il exigea que « la « bête à Bon dieu » reste allongée, pour laisser à sa semence "le temps de germer" dit-il, ce n'est qu'après une heure interminable qu'il consentit à lever le camp. Non sans éructer, dans un rire graveleux, s'adressant à la nonne : Tu as péché par la queue, par la queue le diable te punira ».
Fabienne revit une dernière fois Marie-Cécile à travers les grilles de l'hôpital fin septembre la veille de la rentrée des classes, au cours de cette ultime et brève rencontre la none lui apprit que le bonhomme avait réussit son forfait, il l'avait bel et bien engrossée. Plus jamais Fabienne ne devait la revoir ensuite.
On comprend mieux ainsi pourquoi dès ses quatorze ans, nantie de son certificat d'études, pour échapper aux mâles dépravés de sa famille avait saisi la première occasion pour quitter Argenton.
Un couple de charcutiers parisiens, dont le mari était originaire du village natal de sa mère, qui recherchait une jeune fille pour s'occuper du ménage et de leurs deux jeunes enfants l'avait engagée, ce qui avait mis fin à son esclavage sexuel. Enfin, en ...
... partie seulement, car Pierre Hardouin, le charcutier, brave homme au demeurant ne resta pas longtemps insensible à l'attrait de la jeune soubrette. A sa décharge, il faut reconnaître qu'il sut y mettre les formes, complétant sans rechigner le salaire de son employée en lui glissant régulièrement chaque fin de semaine un gros billet distrait dans la caisse. De plus il était doux et prévenant avec la jeune fille. Il ne réclamait aucune pratique particulière. Ils faisaient l'amour à la papa, et elle avait même droit au lit conjugal, dès que madame Hardouin s'absentait un tant soit peu pour rendre visite à sa famille ou à une amie. Il y avait bien quelques petites exceptions à la règle, Fabienne y prenait même du plaisir, par exemple se faire besogner ardemment dans l'arrière boutique, alors que madame continuait à servir les clients et tenir la caisse, pendant que monsieur batifolait, pistonnant la jeunette avec un bel entrain, après lui avoir brouter la minette, pour la préparer à le recevoir en douceur. Monsieur Hardouin, ayant particulièrement apprécié cet épisode, offrit à sa « petite amoureuse » une jolie parure de lingerie fine, soutien gorge, petite culotte et porte-jarretelles blancs ainsi qu'une paire de bas nylon chaire.
Madame étant partie accompagner les enfants chez leurs grands-parents maternels pour les vacances de Pâques, Fabienne eut droit à la chambre conjugal quatre nuits de suite, quatre folles nuits d'ébats amoureux. Enhardie par l'expérience, elle initia ...