La petite Fabienne
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byberto41, Source: Literotica
La petite Fabienne, avait eut une « éducation » sexuelle précoce. benjamine d'une famille qui ne comptait que des garçons, et avait rapidement constaté qu'elle n'était pas exactement constituée comme eux. Dès qu'il l'avait jugé assez grande, c'est à dire vers six ans, alors qu'il en avait quatorze, Pierre, l'aîné de ses frères l'avait prise en main, si l'on peut dire...
Enfin comme dans la chanson de Gainsbourg, Fabienne avait appris à « aimer les sucettes ». Bien plus tard, vers ses onze ans, son père s'était chargé, sans ménagement de « l'introduire » aux choses sérieuses. A la mort prématurée de ce dernier, l'un de ses oncles, sans doute lassé de sa concubine, lui avait mis le grappin dessus, et le chibre dans sa fente déjà bien rodée!
Lorsqu'à treize ans elle venait tout juste d'être « réglée » elle s'était presque aussitôt retrouvée enceinte, mais elle n'aurait su dire duquel, de son oncles ou de ses trois frères qui la prenaient à tour de rôle et à qui mieux-mieux. Désirant ne pas être inquiété" par un chiard de plus l'oncle Marcel l'avait confié aux soins d'une bonne femme qui s'était chargée d'arranger l'affaire. Mais un séjour à l'hôpital, pour cause d'infection s'en était suivit.
C'est au cours de ce séjour, que Fabienne avait enfin connu pour la première fois la douceur. La jeune sœur infirmière chargée de ses soins, emportée par un élan qui n'eut vite plus rien de religieux, lui enseigna tout le savoir qu'elle avait retenu de son noviciat!
Fabienne ...
... apprécia les attouchements experts et délicats des doigts de fée de sœur Marie-Cécile, et plus encore les caresses linguales et autres lichettes de la jeune religieuse. Dès que la religieuse avait compris qu'elle pouvait faire confiance à sa jeune patiente, elle avait renoncé au port de la culotte, de telle sorte que lorsque Fabienne se glissait sous sa robe, aucune entrave ne s'opposait aux diverses câlineries qu'elle dispensait avidement à sa bienfaitrice. Si celle ci appréciait ces gâteries, elle ne les avait jamais sollicités et se serait bien gardée de les avoir même suggérées.
Au cours du printemps qui avait suivi leur rencontre, Marie-Cécile avait enfin eut l'occasion lors d'une brève permission de sortie d'emmener sa protégée pour une escapade dans la vallée de la Creuse. Elle avait finalement déniché une petite clairière isolée dans laquelle elle avait quitté l'ensemble de ses vêtements et Fabienne l'ayant imité sans la moindre hésitation elles s'étaient données mutuellement, réciproquement et simultanément de la joie se livrant à des soixante neuf aussi passionnés qu'effrénés.
Pour leur malheur un paysan qui passait par là, et qui avait surpris leurs ébats réclama pour le prix de son silence qu'elles lui dispense chacune une faveur. Fabienne, vu sa jeunesse en fut quitte pour une « turlutte », mais il l'obligea quand même à tout avaler et à lui lécher la queue pour qu'elle fut bien nette avant d'honorer la « bonne-sœur ». Quand ce fut le tour de Marie-Cécile, il ...