1. Toussaint, fête de tous les seins ?


    Datte: 31/07/2020, Catégories: grp, uniforme, campagne, autostop, Oral double, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... toute la place. Pendant qu’il me prend, par de violents coup de reins, j’imagine ma rondelle serrer sa hampe et tenter d’étouffer le gland pour le branler. Il me force à me cambrer encore plus et sa main vient frotter mon petit bouton. Il sait y faire. Il joue avec mon cul. Sa verge sort puis replonge aussitôt pour s’enfoncer jusqu’à la garde. Dix fois, vingt fois, cent fois. Je ne me lasse pas.
    
    — Ahhh.
    
    Il jouit, bien calé. Je sens sa verge gonfler un peu plus à chaque passage du sperme. Il reste en moi tout en accélérant ses mouvements sur mon clito. Une nouvelle jouissance me submerge, encore plus forte que la première.
    
    On bouge. Rose se dégage. Mon enculeur me quitte. Je reste prostrée un instant. Mais on me fait lever. Quatre hommes me regardent, sourire aux lèvres. Deux sont encore en érection. Rose n’a donc pas…
    
    Je comprends. Ils se réservent, non plutôt, elle les réserve pour moi. Le premier s’assied sur le canapé. Rose me pousse. Je ne résiste pas. Moi, la femme de 25 ans, me laisse mener par une fille d’à peine 20 ans. Pourtant je suis dégrisée. Il suffirait de dire non. Je n’ai rien à prouver. Pourtant je reste docile.
    
    Au contraire, je viens chevaucher le garçon et je m’empale moi-même sur le pieu dressé. La route est tracée. Mon vagin est ouvert, humide, glissant comme une route de ma Bourgogne natale et son verglas du petit matin. Le sexe vient buter contre mon utérus et à nouveau je me sens pleine. Mais ce n’est qu’un début. Mon amant m’attire ...
    ... contre lui et je sens ses mains qui s’approprient mes globes fessiers pour les écarter. Le canapé bouge, quelqu’un se place derrière moi. Le gland d’une tige se frotte dans mon sillon, récoltant probablement quelques filets de cette crème blanche qui doit goutter lentement de mon anus. Maintenant il est en place. D’un coup de rein il entre et en une seule poussée il me dilate pour venir m’enculer jusqu’à la garde.
    
    Même pas mal ! Comme disent les jeunes. Et c’est vrai. Aucune douleur. Il faut dire que le précédent a bien préparé le chemin. Mais par contre, je me sens gonflée, déformée mais surtout comblée et pleine. Deux queues raides et vigoureuses sont en moi. Leur chaleur m’enflamme. Avoir le feu au cul, mais oui c’est possible et pourtant personne ne bouge encore. J’attends qu’ils me baisent. Mais non, je ne peux pas attendre. J’ai besoin de les sentir vivre en moi. Je ne bouge que mon bassin, ondulant d’avant en arrière. C’est suffisant pour bien les sentir, les différencier, alors que j’avance sur une et que l’autre recule. Comment deux verges peuvent elle coexister sans que je souffre. Miracle de l’élasticité.
    
    Un homme se présente face à moi. C’est longue-queue. Il enjambe le dos du canapé pour se placer, plus précisément pour placer sa verge à mes lèvres. Son sexe mou entre facilement. Me voilà, telle une pute de garnison, prise par tous mes orifices. Le canapé bouge. C’est Rose et le dernier garçon qui s’installent. Juste avant de le gober, elle me dit.
    
    — Je vais ...
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