1. Mes élèves, ces petites chaudasses ! (1)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Hétéro Auteur: oreidra, Source: Xstory

    ... s’agitant sur son siège.
    
    Je commence à la cerner, elle ne fait pas semblant quand elle est gênée (enfin je crois ?), mais pourtant, elle aime bien chauffer. C’est probablement une allumeuse qui ne s’assume pas totalement. Elle joue l’innocente alors qu’elle a un esprit un peu coquin. Une potentielle salope à en devenir donc...
    
    — Et pourquoi pas ? Je suis ton prof de sport après tout, j’ai l’habitude de voir des corps féminins... en plus, c’est dans le règlement de la salle, on n’entre pas dans le sauna en portant des vêtements (je mens sur cette partie).
    
    —... Tu es sûr ?
    
    — Oui, t’inquiète, la rassuré-je.
    
    Elle hésite, rougit violemment puis retire sa brassière par le haut, dans un geste précipité comme pour abréger ce moment. Sa vitesse d’exécution fait jaillir ses seins à l’air libre avec force et ils rebondissent joyeusement devant mes yeux écarquillés. Sa poitrine exposée devant moi est ahurissante, étourdissante, une des plus belles que j’ai vues. Deux globes massifs pointant fièrement en avant comme deux obus. Parfaitement ronds comme deux pêches géantes couvertes de miel. Ils sont royalement couronnés par des tétons roses, légèrement dressés. Mais cette vision ne dure qu’un instant. Claudia jette la brassière sur le côté et serre ses bras autour de ses seins, ce qui les fait gonfler davantage.
    
    — Inutile de faire la timide maintenant que je les ai vus, en plus dans cette position tu ne vas pas vraiment te détendre, dis-je l’air décontracté, en regardant ...
    ... ailleurs innocemment.
    
    — C’est pas faux, me répond-elle.
    
    Elle me fixe quelques secondes puis libère à nouveau timidement sa poitrine. Je concentre aussitôt mon attention dessus. Elle a les yeux baissés, tournés sur le côté, les joues légèrement roses, ses gros pare-chocs couverts d’une légère pellicule de sueur. Quelle vision ! Je sens ma queue qui se réveille l,à en bas, et je m’imagine déjà la queue entre ses deux nichons, avec Claudia à genoux en train de baver abondamment sur mon gland, levant ses grands yeux de biche innocente vers moi...
    
    — Je vais te démonter toi...murmuré-je pour moi même.
    
    — Qu’est-ce que tu as dit ?me demande-t-elle.
    
    — Euh... j’ai dit “Je vais te remonter ta note toi”
    
    Elle croise mon regard puis sourit, l’air de reprendre contenance, sa timidité vite envolée.
    
    — A,h parce que ça suffit à me valoir des points en plus ? me dit-elle en souriant.
    
    Dans le même temps, elle pose ses bras en arrière sur le banc, s’étirant un peu en avant. Bombant son torse et projetant sa paire de meules vers moi. Ils sont aussi gros que ceux d’Elodie, mais ne donnent pas la même impression d’être gonflés, non ils dégagent plutôt une impression de lourdeur, de poids. Et pourtant, ils restent tendus droits devant elle, comme insensibles à la gravité. J’ai l’impression qu’ils m’appellent, d’ailleurs dans cette position on dirait qu’elle me les offre sur un plateau, prêts à être caressés, sucés, pétris... Mes yeux ne veulent pas s’en détacher, mais je fais ...
«12...567...15»