Comment j'ai abandonné le romantisme (4)
Datte: 14/04/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Lukecarneby, Source: Xstory
... d’autorité, voire peut-être d’agacement :
— Moi je ne baise pas, je fais l’amour.
Et pendant que notre balai humide reprend de plus belle, je ne peux empêcher que cette exigence lexicale contraste avec la liberté de ton et de mœurs dont elle fait preuve depuis notre rencontre.
Et inévitablement, ce paradoxe instille en moi un début d’inquiétude...
Début d’inquiétude qui disparaît aussi vite que la tolérance dans un stade de foot un soir de derby, lorsque je sens ma queue qui frotte contre les poils pubiens de Jessica.
Je décide de l’exciter davantage : ayant vu cela dans un film, je saisis mon sexe par la base et le frotte contre l’entrée de son vagin, sans la pénétrer ; l’effet attendu ne se fut pas attendre :
— Oh...c’est bon ça...ah...
Son corps se tordait à nouveau, et son souffle devenait court et saccadé.
Je décidais de continuer un petit peu.
— _ Qu’est-ce que tu attends ? Mets-la-moi...
— Non...pas tout de suite, lui dis-je doucement.
Tout son corps témoigne de sa frustration et de son envie, elle remue péniblement, submergée par le plaisir, son cerveau est incapable de la faire réagir plus vivement.
Pourtant, dans un souffle qui semble être un supplice pour elle, elle me dit :
— Pourquoi ? Vas-y...je n’en peux plus...
Je souris, ne dis rien, et accentue mes frottements...
— Ahhh...vas-y, s’il te plaît...mets-la-moi...
Encore un peu, elle est bientôt prête...
— Ouhh...ahhhh... s’il... te... plaît... ...
... n’attends plus... j’ai envie de ta queue...
Elle fond littéralement sous mes yeux, nous y sommes presque...
— Ohhh, je t’en priAHHHHHHHH !
Ne la laissant pas finir sa phrase, je lui enfonce sans la prévenir mon sexe entre ses lèvres intimes.
La pénétration est facile tant elle glisse comme une patinoire.
Le cap est franchi, et cette sensation divine m’arrache également un cri rauque :
— OHHHHH, c’est bon !!!!
Je reste quelques secondes immobile, afin de m’habituer à l’étroitesse de son conduit, et pour ne pas lui faire mal. Puis je commence de lents va-et-vient, mes bras posés autour des siens, ma tête entre ses seins...
Je me redresse sur mes mains, mes mouvements de bassins continuent pendant que je la regarde.
Ses yeux sont clos, de petits cris étouffés sortent parfois de sa bouche. Elle aime ce que je lui fais.
Elle passe ses mains autour de mes épaules, caresse ma nuque puis mes cheveux, tendrement, langoureusement, presque... amoureusement même...
Déjà, mes coups de boutoir se font plus rapides, elle enserre mes fesses avec ses jambes, s’agrippant à moi pour ne plus me laisser partir, mais aussi pour accroître la profondeur à laquelle s’enfonce mon sexe.
Dans le même temps, elle ondule du bassin, son excitation est extrême.
Son souffle devient irrégulier, ses gestes saccadés. Les caresses du début se font moins tendres, moins maîtrisées.
— Oui... Oui... c’est bon... continue, finit-elle par souffler.
Ses mots m’excitent et ...