1. Comment j'ai abandonné le romantisme (4)


    Datte: 14/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Lukecarneby, Source: Xstory

    Si j’avais eu besoin d’un coup de fouet pour rebander, j’étais pour le coup servi.
    
    Et si ma bouche venait de prendre quatre-vingts ans d’un coup, mon sexe, lui, avait conservé une rigidité capable de casser un barreau de chaise et pourquoi pas, la salle à manger toute entière.
    
    Cette fille était incroyable...elle venait de se prendre un orgasme qui la laissait pantelante, presque comateuse, et elle en redemandait immédiatement...
    
    Je suis vraiment bien tombé moi...
    
    J’allais me retourner pour ouvrir le tiroir en question, quand un détail soudain me frappa :
    
    — Attends Jessica, tu as des capotes dans ton salon ?!
    
    — Dans toutes les pièces de la maison si tu veux tout savoir, on ne prévoit jamais assez, tu sais... Ajoutant à cela un mouvement de tête vers l’arrière, comme si elle voulait se recoiffer, et qui achevait de la rendre ravissante.
    
    Bigre ! Certains auraient songé à plusieurs qualificatifs peu flatteurs, voire orduriers, après avoir pris connaissance de cette « précaution ». Mais ce n’était pas dans ma nature de penser cela.
    
    Jessica est une femme libre et qui assume ce qu’elle est après tout, et je n’ai pas de commentaires à y apporter.
    
    Sauf le fait que vraiment, j’adore les rousses...
    
    Après ce bref échange, j’ouvre le tiroir, et découvre une quantité astronomique de préservatifs...je me demande d’ailleurs si, à ce stade, on n’est d’ailleurs pas au-delà de la simple prévoyance.
    
    En tout cas, s’il y avait demain une apocalypse, on ne mourrait ...
    ... ici ni d’ennui ni de maladie...
    
    Je me demandais comment elle avait pu se procurer tout cela, avant de me rappeler qu’elle était infirmière...
    
    Bon, tu joueras les Sherlock Holmes plus tard, mec...J’en saisis un au hasard...que Jessica me demande alors de lui donner.
    
    Elle l’attrape, l’ouvre et place le cercle de caoutchouc sur mon gland et le déroule le long de ma verge.
    
    Là encore, c’était une première pour moi...Mais, cette fille se cachait-elle où depuis tant d’années ?
    
    — Maintenant, fais-moi l’amour.
    
    Je ne me fais pas prier pour lui obéir, je m’allonge sur elle et l’embrasse. Le goût de la cyprine ne semble pas la déranger.
    
    Au contraire, elle me presse contre elle et s’acharne sur ma langue et ma bouche, l’explorant et la raclant comme on lécherait les bords et les fonds de la casserole remplie de chocolat fondu.
    
    Je lève alors les yeux et remarque que le rideau de la fenêtre en face de nous n’est pas fermé et qu’il donne sur le couloir de l’immeuble d’en face : tous ceux qui passent peuvent nous voir ! Et peut-être même nous a-t-on déjà vus !
    
    Ma pudeur naturelle reprend alors le dessus : je veux bien faire de nouvelles expériences avec Jessica, mais l’exhibitionnisme, non.
    
    Je me décolle donc d’elle et lui dis :
    
    — Attends Jessica, je vais tirer le rideau; je n’ai pas envie que quelqu’un nous voie en train de baiser...
    
    Aussitôt cette formalité accomplie, je reviens sur ma belle qui, avant de m’embrasser, me dit d’une voix douce, mais teintée ...
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